Crushof Lifetime : Le rĂ©sumĂ©. Kim Yeonwoo , Jeong Ha-lim. Hye-ji en est persuadĂ©e : Ki-sung, le garçon qu’elle aime, Ă©prouve des sentiments rĂ©ciproques Ă  son Ă©gard. Mais son cƓur se brise en mille morceaux quand elle apprend qu’elle a faux sur toute la ligne ! Ki-sung ne la considĂšre que comme une bonne copine.

La mĂ©ditation et moi J’ai pratiquĂ© la mĂ©ditation avec des sĂ©ances collectives dans des ashrams il y a 25 ans. J’ai Ă©galement fait un peu de yoga et eu aussi la chance de dĂ©couvrir quelques mantras, qui m’accompagnent toujours. J’ai frĂ©quentĂ© en France pendant environ un an un cercle bouddhiste oĂč nous priions et mĂ©ditions. Puis happĂ© par la vie professionnelle [1]cette expression est ironique, c’est mon ego qui parle. J’ai maintenant conscience de m’ĂȘtre laissĂ© accaparĂ© par un travail que j’aime et qui me passionne. Lequel a aussi 
 Continue reading , j’ai peu a peu abandonnĂ© ces pratiques. Depuis mon installation en Guadeloupe, j’avais arrĂȘtĂ© de pratiquer et mĂȘme laissĂ© mourir mon temple de Ganesh [2]ma statuette de Ganesha est devenue un simple objet dĂ©coratif dans une bibliothĂšque . Et puis rĂ©cemment, j’ai recommencĂ© 
 La respiration consciente Un de mes amis pratique quotidiennement la mĂ©ditation et me partage souvent ses vidĂ©os avec des musiques relaxantes, des sĂ©ances de mĂ©ditation, de reprogrammation neuronale, des musiques Ă  consonnances shamaniques ou tout simplement du jazz 
 J’avais testĂ© quelquefois, sans succĂšs. Puis rĂ©cemment j’ai retentĂ© avec une archive audio qu’il m’avait envoyĂ© et 
 wow ! Comment je mĂ©dite seul Savana Shavana, la posture du cadavre Ma pratique actuelle est trĂšs simple je mĂ©dite le soir avant de m’endormir et le matin au rĂ©veil. Je mĂ©dite dans ma chambre, allongĂ© sur mon lit, les yeux fermĂ©s dans la posture du cadavre [3]allongĂ© sur le dos, les jambes lĂ©gĂšrement Ă©cartĂ©es et les bras le long du corps . J’utilise majoritairement des vidĂ©os disponibles sur youtube, mon tĂ©lĂ©phone suffit. Ce que ça m’apporte Cette pratique me permet d’évacuer du stress, de localiser, amoindrir ou faire disparaĂźtre des nƓuds de tension dans mon corps. La qualitĂ© de mon sommeil s’est amĂ©liorĂ©e et surtout, cela me fait aborder ma journĂ©e positivement et avec de la joie. MĂ©ditation ratĂ©e ? Hier Hier, j’ai passĂ© une trĂšs belle journĂ©e, tant au niveau personnel que professionnel. Vive la mĂ©ditation du matin ! J’ai eu la chance de dĂ©jeĂ»ner puis de dĂźner en tĂȘte-Ă -tĂȘte avec des personnes proches qui abordent elles aussi une nouvelle Ă©tape de vie. Cela faisait un petit moment que nous n’avions pas discutĂ© ainsi et ces moments ont Ă©tĂ© magiques. Le soir, je suis rentrĂ© fatiguĂ©, par cette bonne journĂ©e [4]et peut-ĂȘtre du fait que depuis quelques semaines je dors Ă  peine 4h par nuit . Je me suis couchĂ© peu de temps aprĂšs ĂȘtre rentrĂ© chez moi, directement et sans mĂ©diter. Par contre, ce matin 
 Ce matin, je me suis rĂ©veillĂ© vers 2h30, en pleine-forme ». J’aimerais rĂ©ussir Ă  me rĂ©veiller et me lever plus tard, idĂ©alement Ă  6 heures du matin. J’ai donc choisi une musique de mĂ©ditation de 3h, sans parole, dĂ©cidĂ© Ă  mĂ©diter seul. les Plexis chakra des pieds GrossiĂšre erreur j’ai mal gĂ©rĂ© ma respiration et mon scan intĂ©rieur. Et au lieu de rĂ©ussir Ă  me dĂ©tendre, j’ai rĂ©vĂ©lĂ© et amplifiĂ© pleins de points de tensions, notamment sous la plante des pieds. Pour les yogi, la plante des pieds contient contient 7 shakras, les plexis. Et justement, le 3eme plexi, au milieu de la voute plantaire est le centre rĂ©flexe de la digestion, des peurs et des angoisses. Ce point est souvent douloureux car c’est Ă  cet endroit que on accumule le stress. Bref, contrairement Ă  la mĂ©ditation du matin, dont le rĂŽle est d’aborder une belle journĂ©e et d’ĂȘtre bien ancrĂ© sur terre, j’ai rĂ©veillĂ© avec force des points de stress, sans rĂ©ussir Ă  les dĂ©nouer. À tel point, que quand je me suis levĂ©, mes pas n’étaient pas assurĂ©s, avec les pieds douloureux et les jambes faibles. Pas bon pour aborder la journĂ©e ! Du coup, je me suis occupĂ© du chat qui rĂ©clamait des trucs puis j’ai refait une classique mĂ©ditation du matin, de 10mn qui m’a permis de me lever physiquement et mentalement mieux. Mon conseil la mĂ©ditation accompagnĂ©e Si toi aussi tu souhaites pratiquer la mĂ©ditation seul, je te conseillerais donc pour commencer d’essayer des musiques avec un accompagnement de voix. Actuellement, je trouve super efficace les sons de reprogrammation neuronale ou autohypnose, mais quand j’ai dĂ©cidĂ© de mĂ©diter seul, c’est Ă  dire sans voix d’accompagnement, le rĂ©sultat obtenu n’a pas Ă©tĂ© super bĂ©nĂ©fique. J’ai donc dĂ©cidĂ© de continuer ces exercices de mĂ©ditation accompagnĂ©e, en utilisant plutĂŽt des vidĂ©os ou des bandes son avec une voix pour me guider et m’accompagner, car lĂ , cela Ă  toujours un effet bĂ©nĂ©fique immĂ©diat et durable. Et je rĂ©essaierai plus tard Je te partagerai ici les vidĂ©os et les sons les plus marquants pour moi. Et toi, tu fais comment ? Ce que je partage ici est un instantanĂ© de mon cheminement, conscient que l’approche et la mĂ©thode sont diffĂ©rentes pour chaque individu. Ton expĂ©rience et ton avis m’interessent. Tu peux laisser un commentaire en bas de cet article ou me contacter via les rĂ©seaux sociaux. Je te souhaite une belle journĂ©e. 🙏✹ Je verrai peut-ĂȘtre aussi pour rejoindre ici un cercle de mĂ©ditation et ou yoga. À suivre Etreun bon ange en trois leçons (11 pages) Bon, je ne vais pas tourner autour du pot, la 3Ăšme Ă©dition m'avait laissĂ© un arriĂšre-goĂ»t pas trĂšs agrĂ©able. J'Ă©tais un adepte de la premiĂšre Ă©dition, comme pas mal de vieux routards. J'avais fait le tour d'INS/MV qui ne me satisfaisait plus du tout. C'est toujours comme ça, dans les couples : y'en a un qui s'ennuie pendant que l
Je suis officiellement SDS depuis Nöel. Depuis que j’ai reçu mon casque en fait. Depuis que je suis montĂ©e avec mon pĂšre Ă©tant gamine, je ne suis SDS que derriĂšre mon troll. Jusqu’à prĂ©sent, c’était sur une Bandit 1200. Je ne pensais pas qu’un jour, je monterai sur la V-max. C’est pour ça que quand il m’a dit, l’air de rien On prend la V-max ou la Bandit aujourd’hui ?, je n’ai d’abord pas su quoi rĂ©pondre. La V-max ?? Mais elle n’est pas trop dangereuse avec son V-boost et tout ? Apparemment son envie de sortir l’engin Ă©tait trop forte. C’était sĂ»rement le cas mais pas seulement. Apparemment, j’étais devenue une SDS Ă©mĂ©rite on peut toujours rĂȘver non ? et le troll maĂźtrise bien ses machines, la V-max incluse pas de V-Boost sans l’accord du chef. Mais revenons Ă  mes dĂ©buts de SDS, histoire de planter un peu le contexte. S’il y a une chose que les cours de licence moto m’ont confirmĂ©e, c’est que j’apprĂ©hende les virages. Alors mes dĂ©buts de SDS n’ont pas Ă©tĂ© folichons. Je descends gĂ©nĂ©ralement crispĂ©e de la bĂȘte. Les premiers virages, c’était un mĂ©lange de panique comprimĂ©e et de bon, de toute façon, on y est, on y va. Avec la force de l’habitude, j’ai fait avec. AprĂšs tout, contre toute logique, on n’est jamais tombĂ©s donc bon. Et puis, j’ai eu les cours et on m’a rappelĂ© Ă  36 000 reprises que le regard, c’est la santĂ©. Et donc depuis presque deux mois, je regarde le virage et mon corps fait le reste. Je me souviens des nombreux conseils reçus ici, de tenter de mettre les mains sur le rĂ©servoir derriĂšre un troll, j’arrive Ă  peine Ă  rejoindre mes mains sur son ventre, le rĂ©servoir, c’est Terra incognita depuis lĂ  oĂč je suis. Regarder la route, c’est aussi mission impossible. DerriĂšre lui, je ne vois que
 lui. C’est pour ça qu’au dĂ©but, je fixai sa nuque et je suivais. Maintenant, en ligne droite, c’est toujours le cas. Mais en virage, j’ai un tantinet de visibilitĂ© qui fait que je peux voir et suivre la route. Et puis, entre mes 2 sĂ©ances de 3h de licence, on est allĂ© s’entraĂźner avec ma Bandit 600 sur un parking. J’ai donc dĂ» ĂȘtre SDS sur un bolide moins puissants. La 600, avec nos 200kilos combinĂ©s, elle avait quand mĂȘme plus de mal que la 1200. ForcĂ©ment, moins de puissance, beaucoup de poids, jla sentais moins sĂ»re d’elle, elle dandinait presque un peu du cul. Mais dans l’ensemble, c’est la mĂȘme bĂ©cane ; donc pas plus de surprises que ça. Et puis, j’ai testĂ© la V-max. D’abord Ă  l’arrĂȘt, pour qu’on soit sĂ»rs que je passe je ne suis pas ce qu’on pourrait appeler un petit format non plus. PremiĂšre surprise enfin pas vraiment, j’avais bien vu que le siĂšge du SDS Ă©tait plus haut que celui du pilote, c’est un roadster aprĂšs tout, je suis plus haute et plus plate aussi. Pour bien faire, je dois mettre mes mains au niveau de la poitrine la suite nous montrera que pas forcĂ©ment. On vĂ©rifie que je n’ai pas le cul qui dĂ©passe et on se dĂ©cide donc pour sortir l’engin. DĂ©part imminent. Descente avec virages. Pour bien commencer en somme. Ce passage, j’ai mis des mois Ă  ne plus le redouter. J’avoue, mĂȘme si le troll n’en a jamais rien su jusqu’à ce que je lui avoue il y a quelques jours, j’ai mĂȘme parfois envisagĂ© de lui proposer de descendre avant ces tournants, pour monter ou descendre Ă  pieds la fameuse cĂŽte Ă  virages. Mais lĂ , toute confiante, en avant toute. ArrivĂ©e en bas, je tapote la cuisse de mon pilote. C’est le signe que j’ai quelque chose Ă  lui dire ou que ça ne va pas. Moi C’est normal qu’elle remue du cul comme une catin ? Lui Oui, c’est normal, elle est pas toute jeune tu sais ! Bon, ben si c’est normal alors. M’enfin, j’avais l’impression qu’une flaque d’huile restait collĂ©e au cul de la bĂȘte et que ça dĂ©rapait Ă  tout va. Bon, comme d’hab, on va faire avec. M’enfin ça reste dĂ©stabilisant, d’autant que c’est pas rĂ©current, parfois ça le fait, parfois pas. Souvent quand je ne m’y attends plus, en plus. Je savais qu’elle Ă©tait fourbe mais pas Ă  ce point lĂ . Le troll avait prĂ©venu, on irait tranquilou, il n’ouvrirait pas en grand, pas de dĂ©passement des 6000 tours prĂ©vu et donc pas de V-Boost. Ya un peu de circulation, on sort de la ville Ă  notre aise. Petit tapotage sur la jambe. Le troll se prĂ©pare Ă  dĂ©passer. Je m’accroche Ă  son ventre, je serre les cuisses, il sait que je suis prĂȘte. Pfffffffffffffffiou !!!! Mais c’est que la petite vieille, elle en a dans l’estomac, mĂȘme sans V-Boost on apprendra plus tard que le troll est un vilain cachottier. Je sens la puissance de la bĂȘte et d’un coup je comprends ce que cette moto peut avoir d’enivrant. Elle dĂ©mĂ©nage ! Et moi, pourtant en gĂ©nĂ©ral terrorisĂ©e, apprĂ©cie cette sacrĂ©e accĂ©lĂ©ration. L’impression d’ĂȘtre libre, grisĂ©e par la vitesse. C’est en arrivant Ă  bon port que le troll m’apprend qu’en fait si, il a ouvert en grand, il a passĂ© les 6000 tours et le V-Boost s’est enclenchĂ©. Tellement grisĂ©e et stressĂ©e ?? que j’étais, je n’ai mĂȘme pas senti son soubresaut. Il n’y est pas allĂ© comme un sauvage non plus, il y est allĂ© progressivement. Mais moi qui m’attendais Ă  sentir que ça tire plus que de coutume sur les bras, Ă  sentir une sorte de dĂ©crochage, rien de tout ça. Je me demande mĂȘme si je ne suis pas un peu déçue. Enfin, la dĂ©ception sera de courte durĂ©e, il s’est promis mĂȘme si d’office, par principe, j’ai dit non p de me le faire sentir. MalgrĂ© la fatigue, j’avais hĂąte de faire le retour. Moi qui d’habitude rĂ©pĂšte 150 fois tu sais, je suis fatiguĂ©e, il faudra aller doucement jusqu’à ce que cela ennerve le troll parce que oui, il sait que je baille Ă  m’en dĂ©crocher la mĂąchoire. Hop hop, je grimpe sur la bĂȘte. C’est lĂ  que je remarque que mes bras prennent une toute autre position que d’habitude. Si vous vous souvenez bien, j’avais parlĂ© de les mettre au niveau de la poitrine. Mais comme j’ai pas l’habitude, je les trouve trop haut et par rĂ©flexe, je les descend vers le ventre jusqu’à
 jusqu’à ce que mes coudes soient en appui, au repos, sur mes cuisses. Je suis vĂ©ritablement assise dĂ©contractĂ©e. Je n’aurais jamais cru cela possible ! Retour au bercail, on range la tite vieille au garage. Alors le bilan c’est quoi ? Bien Ă©videmment, on y est allĂ©s tranquilou, plus que d’habitude, ce qui m’a apportĂ© plus de confort. AprĂšs ce premier essayage, je reste relativement conquise malgrĂ© les frayeurs dues Ă  son dandinement du postĂ©rieur. Elle est plus confortable et permet de profiter mieux des sensations Ă  moto que la Bandit. Bref, je suis fan ! M’enfin, comme le troll me l’a prĂ©cisĂ©, je n’ai pas encore eu l’occasion de monter sur une routiĂšre, ce qui devrait normalement encore plus me plaire en tant que SDS !
MimieMathy n'en revient pas. L'ange gardien de TF1 est violemment attaquĂ©e par Babette de RoziĂšres, cuisiniĂšre de C Ă  Vous et animatrice sur France Ô, qui l'accuse d'avoir tenu des propos
3 . Tome 3 Evaluation Currently 1 2 3 4 5 6 Note 7 votes Identifiant 68147 Scénario Yazawa, Aï Dessin Yazawa, Aï Couleurs Dépot légal 01/2008 Parution le 17/10/2007 Achev. impr. 12/2007 Estimation non coté Editeur Delcourt Collection Akata - Sakura Format Format Manga ISBN 978-2-7560-0542-3 Planches 373 Poids 380 g Autres infos Créé le 29/10/2007 modifié le 08/12/2014 2141 Info édition Erreur probable dans le dépÎt légal et l'achevé d'impression, vue la date de parution.

Ledeal Ă  ne pas rater : Cartes PokĂ©mon : oĂč commander le coffret PokĂ©mon Go Collection 64.99 € Voir le deal Forum sur la Livebox de Wanadoo :: L I V E B O X :: Livebox Sagem :: Firmware - Sagem : DĂ©gradation progressive : Auteur Message; Mifremar InvitĂ©. Sujet: DĂ©gradation progressive Ven 28 Oct 05 Ă  11:12: Bonjour Ă  tous Je suis un "heureux"

Lui ou Rien Titre Lui ou Rien Auteur Yuu WATASE Genre ShĂŽjo Nombre de tomes 6 sĂ©rie terminĂ©e Riiko est dĂ©primĂ©e Ă  cause d'un chagrin d'amour. Elle rencontre un curieux vendeur qui lui demande ce qu'elle dĂ©sire. "Un copain"! Elle jette un coup d'Ɠil au site qu'il lui indique et dĂ©couvre qu'on y vend "l'amoureux idĂ©al"... qui est une poupĂ©e... Elle passe commande sans trop rĂ©flĂ©chir, et voilĂ  qu'on lui livre une grande boĂźte, d'oĂč surgit un beau garçon dans le plus simple appareil! Mais est-il vraiment une poupĂ©e? Lui ou rien - Tome 1 Lui ou rien - Tome 2 Lui ou rien - Tome 3 Lui ou rien - Tome 4 Lui ou rien - Tome 5 Lui ou rien - Tome 6
Unenuit, c’est la sensation d’un baiser qui la tire de son sommeil. Lorsqu’elle ouvre les yeux, un jeune homme avec des cornes flotte au-dessus d’elle. Le lendemain, le garçon de son rĂȘve se manifeste dans son lycĂ©e sous une forme humaine. Il affirme non seulement ĂȘtre son ange gardien, mais aussi son amoureux d’il y a 900 ans ! Pour notre hĂ©roĂŻne, la vie ne sera jamais Fiche Review News Infos+ Editions Images Characters Coms7 JP Title ć€©äœżăȘんかじゃăȘい Translated Title Tenshi nanka ja nai By YAZAWA Ai With YAZAWA Ai Publisher FR Delcourt Collection Sakura Type Shojo Genre Romance, Tranche-de-vie Publisher JP ShĂ»eisha Serialized Ribon Illustration n&b Jene suis pas rancunier vis-Ă -vis de tout ça. Aujourd’hui je suis ici et je profite du moment. Je ne vais pas rester bloquĂ© dans le passĂ© Ă  ressasser des choses alors
Synopsis de Je ne suis pas un ange Le Shojo manga Je ne suis pas un ange nous raconte l'histoire de la lycéenne Midori Saejima. Celle-ci vient d'entrer dans le tout nouveau lycée Hijiri. Sa rentrée a été retardée suite à une maladie qu'elle a contractée et c'est ainsi qu'elle se rend compte le jour de son retour, que ses camarades de classe l'ont inscrite au comité des élÚves. Sa premiÚre réunion a d'ailleurs lieu aujourd'hui.... C'est ainsi qu'elle va se retrouver avec le garçon qu'elle aime depuis maintenant quelques temps... Présentation du manga Je ne suis pas un ange est un manga appartenant au style ShÎjo dessiné par Yazawa Ai. Il est sorti pour la premiÚre fois au Japon en 1992 dans le magazine de prépublication Ribon chez l'éditeur Shûeisha . Le manga a 4 tomes au Japon et 4 tomes en France chez l'éditeur Tonkam. Auteur Yazawa Ai Prépublié chez Ribon Nombre de titres 4 Shûeisha - 4 Tonkam Date démarrage / fin 00-00-1992 Les produits correspondants
Toutce qui implique la magie, le monde des rĂȘves et des fĂ©es. Évoque une histoire d'amour entre deux personnages. SĂ©rie qui raconte au jour le jour les Ă©vĂ©nement de la vie d'un ou de plusieurs personnages. Des Ă©vĂ©nements qui pourraient se produire dans la vie rĂ©elle, qui se dĂ©roulent dans un monde qui pourrait ĂȘtre le notre.
Voici un article qui tient autant du journal de bord que de la review d’un vol que je vous recommande, ou comment partir aux Maldives avec XL Airways ! AĂ©roport international de Roissy Charles-de-Gaulle 2A. En poussant mon chariot Ă  bagages dans ce terminal plutĂŽt calme en ce milieu d’aprĂšs-midi je m’efforce pourtant de ne pas heurter une poignĂ©e d’enfants indisciplinĂ©s qui errent dans le hall immense. Nez en l’air, je cherche l’affichage de mon vol sur le tableau pour repĂ©rer le comptoir d’enregistrement. Vol XL Airways Ă  destination de MalĂ©, capitale des Maldives comptoir A1, au bout Ă  droite du terminal. Demi-tour, et je recroise la floppĂ©e de gamins qui se chamaillent et courent en tous sens. OĂč sont les parents ?
 Quatre couples patientent devant moi lorsque j’arrive Ă  1555 devant le comptoir d’enregistrement oĂč procĂšdent trois hĂŽtesses qui ont l’air dĂ©tendu. Cinq minutes plus tard je tends mon passeport et je dĂ©pose mes sacs sur le tapis roulant. La pesĂ©e des bagages est toujours le premier petit moment fort de mes voyages demandez Ă  n’importe quel plongeur, et pire Ă  n’importe quel photographe pro, et vous comprendrez. A l’heure oĂč les compagnies low-cost Ă  tarif hyper-rĂ©duit n’acceptent que 15 kg de bagages par personne pour les vols en dehors de l’Europe, quand certaines compagnies amĂ©ricaines commencent mĂȘme Ă  faire payer le kilo de bagage supplĂ©mentaire au-dessus de 10 kg une petite fortune en dollars, quand vous partez sur une destination plongĂ©e sous-marine et que vous avez la tare supplĂ©mentaire de vous encombrer de matĂ©riel photographique, tous les efforts et les privations que vous avez fait chez vous en triant soigneusement l’indispensable du superflu avant de fermer votre sac de voyage se rappellent Ă  votre bon souvenir au moment de poser vos sacs sur le tapis roulant de l’impitoyable hĂŽtesse qui s’apprĂȘte Ă  vous dire vous ĂȘtes en surcroĂźt de bagages, il faut vous rendre au comptoir XYZ et payer la taxe de supplĂ©ment . Habituellement ce comptoir est situĂ© Ă  l’autre bout du terminal et cela vous arrive toujours un jour de rush dans un aĂ©roport bondĂ© et vous n’avez pas d’autre solution immĂ©diate que de courir sans prendre le temps de rĂ©flĂ©chir pour payer. Le pire que j’aie jamais acceptĂ© ?
 80 kg d’excĂ©dent de bagages ! Je partais m’installer pour quelques annĂ©es dans l’ocĂ©an indien, et si j’avais joyeusement laissĂ© derriĂšre moi tailleurs sexy et talons hauts, j’emportais malgrĂ© tout quelques livres et menues bricoles qui devaient permettre ma survie au quotidien. Je m’attendais Ă  un surcroĂźt de bagages, je l’avais mĂȘme inclus dans mon budget. J’ai payĂ©. Et trois heures plus tard, en survolant la MĂ©diterranĂ©e vers l’üle Maurice, j’ai rĂ©alisĂ© qu’à ce tarif j’aurais mieux d’acheter immĂ©diatement un billet d’avion pour ma mĂšre qui m’avait accompagnĂ©e Ă  l’aĂ©roport, je l’aurais catapultĂ© plongeuse » et elle aurait pu s’offrir quelques jours Ă  Maurice en me faisant faire malgrĂ© tout une belle Ă©conomie puisqu’elle aurait eu droit, comme moi sur Air Mauritius, Ă  40 kg de bagages
 Quoiqu’il en soit, en ce 29 avril 2009 je ne suis guĂšre inquiĂšte j’ai droit Ă  20 kg de bagages et la compagnie XL Airways m’autorise 15 kg supplĂ©mentaire sur prĂ©sentation d’une carte d’affiliation Ă  une Ă©cole de plongĂ©e carte FFESSM, PADI,
. Les chiffres digitaux d’une couleur digne d’un Ă©cran PC des premiĂšres annĂ©es dĂ©filent au-dessus du tapis roulant 16,3 kg pour mon sac personnel dans lequel j’ai dĂ©jĂ  glissĂ© quelques accessoires de poids et mon pied photo. Mon sac plongĂ©e lui affiche 18 kg, pourtant je n’ai emportĂ© que du lĂ©ger puisque je vais plonger en eaux chaudes. Mais comment font les autres plongeurs ?!
 J’ai un petit pincement d’inquiĂ©tude lorsqu’on me demande de peser Ă©galement le sac Ă  dos que je dĂ©clare bagage Ă  main », astuce qui me permet de charrier lors de tous mes dĂ©placements matĂ©riel photo et ordinateur glurps, 14 kg. Et pourtant j’ai fait lĂ©ger !
 Mais l’hĂŽtesse dĂ©cidĂ©ment charmante ne sourcille pas et me tend l’étiquette bagage cabine » Ă  fixer sur la poignĂ©e de mon sac Ă  dos. Mieux, elle m’annonce que le vol est prĂ©vu Ă  l’heure. J’ai donc le temps de vaquer Ă  mon loisir favori, dĂšs que j’aurai passĂ© les formalitĂ©s de prĂ©sentation de passeport puis du scanner des bagages Ă  mains errer dans les librairies d’aĂ©roport oĂč je dĂ©niche la presse internationale et celle plus spĂ©cifique au tourisme que l’on ne trouve pas forcĂ©ment dans les librairies de quartier. Il ne me faut que sept minutes pour passer les formalitĂ©s de douane et mon sac Ă  dos au scanner, exceptionnel ! Pensez Ă  acheter vos magazines dans la librairie situĂ©e juste Ă  gauche des scans, sinon il vous faudra monter un escalier puis en redescendre un autre pour y retourner. La salle d’embarquement A49 est situĂ©e Ă  l’écart mais au calme, devant un magasin d’accessoires son que j’ai le temps d’explorer tranquillement. C’est donc le sourire aux lĂšvres que je me prĂ©sente Ă  l’embarquement dĂšs que l’hĂŽtesse invite les passagers avec enfants Ă  se prĂ©senter en porte
 Avion XL Airways Airbus A330, classe Economique. Je tends ma carte d’embarquement, l’hĂŽtesse la glisse dans la borne Ă©lectronique, et ma carte ressort Ă©jectĂ©e telle une maladie honteuse pour avoir le temps d’atterrir dans une main habile qui se fige tandis qu’un bip hideux se fait entendre. Bien ma chance !
 Je me demande dĂ©jĂ  quel est le problĂšme quand un charmant monsieur aux yeux vifs rĂ©cupĂšre ma carte d’embarquement et me fait signe de le suivre vers l’écran d’ordinateur qu’il consulte dĂ©jĂ . Mes bagages ?
 J’ai pourtant bien ĂŽtĂ© les batteries en tous genres, et je n’ai pas de piles dans mon phare de plongĂ©e. Souriant, l’homme en uniforme qui ferait craquer une midinette griffonne un petit paraphe sur ma carte d’embarquement et me la tend en souriant nous avons le plaisir de vous offrir le trajet en classe Galaxie, ainsi vous pourrez mieux profiter des services de notre compagnie XL Airways . Waouh !
 Je me jetterais bien Ă  son cou !
 Comme Ă  mon habitude, je n’ai dormi que deux ou trois heures la nuit prĂ©cĂ©dente puisque j’ai rĂ©glĂ© un tas de dossiers avant le dĂ©part. Et je n’aurais pas rĂȘvĂ© d’un voyage en classe affaires sur un long trajet comme celui-ci. Je m’éloigne dans le couloir qui mĂšne Ă  l’avion en marchant sur des plumes de duvet d’oie tant je me sens lĂ©gĂšre tout Ă  coup ! Mon sac Ă  dos ne tire plus sur mes Ă©paules, et je tends ma carte d’embarquement Ă  l’hĂŽtesse qui fait un pas de cĂŽtĂ© bienvenue Ă  bord de XL Airways Madame, je vous souhaite un agrĂ©able vol sur notre classe Galaxie . Sans un regard coupable vers les autres passagers qui, eux, bifurquent Ă  droite, je la remercie d’un sourire que j’aurais voulu moins radieux, plus blasĂ©, et je suis accueillie par une autre hĂŽtesse qui me mĂšne vers mon siĂšge 1A, premier rang, avec deux hublots. Le rĂȘve
 En rĂ©alitĂ© ce genre d’anecdote m’est arrivĂ© plusieurs fois au cours des vingt derniĂšres annĂ©es, et toujours lorsque je voyageais seule. Je n’ai jamais eu les moyens de m’offrir un voyage en classe Affaires qui est diffĂ©rente, bien sĂ»r, de la PremiĂšre classe qui existe encore sur quelques compagnies. Mais au grĂ© du hasard et de mes dates de vol, j’ai eu l’heureuse surprise d’ĂȘtre surclassĂ©e de classe Economique en classe Affaires lorsque la compagnie aĂ©rienne avait effectuĂ© un surbooking procĂ©dĂ© peu scrupuleux qui consiste Ă  vendre plus de billets d’avion qu’il n’existe de siĂšges et cela arrive plus frĂ©quemment qu’on ne l’imagine, un passager voulait prendre mon siĂšge situĂ© Ă  cĂŽtĂ© de celui de son Ă©pouse dont il Ă©tait, par malchance, sĂ©parĂ© de plusieurs rangs, j’accompagnais une passagĂšre amie qui voyageait elle en classe Affaires et qui avait l’une de ces fameuses cartes magiques prouvant qu’elle effectuait sur cette compagnie un grand nombre de vols par an. J’ai ainsi Ă©tĂ© surclassĂ©e en classe Affaires deux fois par Air France, et notamment sur un vol San Francisco / Paris, vol trĂšs long que j’ai donc particuliĂšrement apprĂ©ciĂ©. Pour ces deux fois-lĂ , je voyageais seule en classe Eco et j’étais donc facile Ă  dĂ©placer » pour cĂ©der la place Ă  des passagers supplĂ©mentaires. J’ai eu droit Ă©galement Ă  une gratification de ce genre sur un vol Paris / Martinique, un jour de grĂšve d’aĂ©roport et tandis que des passagers en colĂšre fulminaient contre un surbooking sur ce vol, je ne me souviens plus du nom de la compagnie. Une autre fois une passagĂšre en Eco insistait pour s’asseoir Ă  cĂŽtĂ© de son amie situĂ©e bien plus Ă  l’avant de l’appareil, et pour cela il fallait que je cĂšde le siĂšge hublot que j’avais pris soin de rĂ©server bien avant mon dĂ©part, chose que je fais toujours sur des vols longue distance au moins je peux me tourner vers le hublot pour tenter de dormir un peu et je profite toujours du lever du soleil. L’hĂŽtesse qui me demandait si j’accepterais un autre siĂšge a senti mon dĂ©sappointement puisque j’étais partagĂ©e entre le sentiment de comprĂ©hension vis-Ă -vis de deux amies qui rĂȘvaient de voyager ensemble sur un long trajet et la dĂ©ception de devoir m’installer sur l’autre siĂšge coincĂ© au beau milieu d’une travĂ©e centrale. Mais comme la passagĂšre mal lotie montrait quelque signe d’impatience devant mon hĂ©sitation qui me semble tout de mĂȘme lĂ©gitime, l’hĂŽtesse a tranchĂ© laissez-moi quelques instants mesdames, je reviens de suite vers vous . Elle s’est Ă©loignĂ©e, a sans doute Ă©voquĂ© ce problĂšme avec sa chef de cabine, puis elle est effectivement revenue vers nous. Entre-temps je m’étais dĂ©cidĂ©e Ă  laisser mon siĂšge de toutes façons en me rĂ©signant Ă  passer un vol dans des conditions moins agrĂ©ables que prĂ©vu. L’autre passagĂšre d’une cinquantaine d’annĂ©es, apprĂȘtĂ©e comme pour un thĂ© mondain, a interpellĂ© l’hĂŽtesse immĂ©diatement vous avez trouvĂ© une autre place pour elle ? ». Elle, c’était mes 30 ans tout neufs qui devaient Ă  ses yeux peser moins lourd dans la balance de l’égalitĂ© entre passagers. L’hĂŽtesse a souri avec application nous trouvons toujours des solutions pour satisfaire nos passagers , et se penchant vers moi mais suffisamment fort pour que j’en rosisse d’embarras, elle a ajoutĂ© Mademoiselle, notre chef de cabine vous propose un siĂšge en classe Affaires et avec un hublot pour vous permettre de mieux profiter de votre voyage . Une petite claque Ă  une vieille mal Ă©levĂ©e !
 Je crois que si nous l’avions osĂ© elle et moi, nous aurions tirĂ© la langue Ă  cette chose sĂšche et poudrĂ©e qui a laissĂ© Ă©chapper une expression dĂ©confite. Mais revenons au vol XL Airways du 29 avril dernier
 En classe Galaxie vous voyagez dans des conditions qui ne sont pas celles d’une classe Affaire, mais un intermĂ©diaire entre la classe Economique photo plus haut dans cet article et l’Affaire qui n’existe pas sur XL Airways, disons qu’il s’agit d’une classe Confort. Une classe oĂč les siĂšges sont un peu plus larges, et oĂč les rangĂ©es de siĂšges sont disposĂ©es par deux le long des hublots pour les couples par exemple, et trois siĂšges seulement en travĂ©e centrale. Vous disposez de plus d’espace pour les jambes et l’inclinaison du siĂšge permet de se dĂ©tendre suffisamment pour s’assoupir notez que les accoudoirs fixes qui sĂ©parent les siĂšges ne se soulĂšvent pas, vous ne pourrez donc pas vous allonger si les siĂšges Ă©taient libres Ă  cĂŽtĂ© de vous. Avion XL Airways Airbus A330, classe Galaxie. Sur cet Airbus A330, la cabine Galaxie est situĂ©e juste derriĂšre le poste de pilotage, vous souffrez moins des turbulences si vous devez en traverser au cours du vol. Lorsque l’hĂŽtesse annonce la fermeture des portes de l’avion, je compte seulement six passagers pour vingt-et-un siĂšges disponibles en classe Galaxie. DerriĂšre moi personne ! Je vais pouvoir incliner mon siĂšge autant que je le souhaite, et j’installe mes petites affaires sur le siĂšge de droite qui va rester libre. Royal ! Pochette rafraĂźchissante, jus de fruits ou champagne avant le dĂ©collage, exceptionnellement j’opte pour le champagne il s’agit d’un vol de nuit, autant dormir un maximum ! Alors que l’avion roule vers la piste, j’ai pitiĂ© du jeune steward qui effectue la dĂ©monstration des procĂ©dures de sĂ©curitĂ© les six passagers que nous sommes poursuivent la lecture des magazines ou de la presse qu’il vient de mettre Ă  notre disposition, sans lui jeter un seul regard. On doit se sentir bien seul dans ces circonstances ! Le commandant de bord annonce quelques minutes de retard de dĂ©collage puisque nous ne sommes pas prioritaires. Mariah Carey vocalise doucement en musique de fond, je termine mon champagne pendant que l’hĂŽtesse s’assure que mes magazines ne tomberont pas, je ne suis pas pressĂ©e je pars en reportage vers une destination de rĂȘve ! Je suis plus indulgente avec les compagnies charters sur l’exactitude des horaires de vols. Quand vous achetez un vol sur une compagnie autre que nationale, vous savez que vous prenez le risque d’un quelconque retard, et je prĂ©cise que ce n’est d’ailleurs pas systĂ©matique. On sait aussi que les compagnies nationales paient Ă  prix d’or la location de leur hub et leurs dĂ©collages sont toujours prioritaires. Ciel bas sur Roissy, avec quelques percĂ©es de soleil qui Ă©claboussent les flaques d’eau sur la piste. Je note que le logo de Korean Air ressemble Ă  celui de Pepsi
 Nous dĂ©collons avec trente-cinq minutes de retard. Le personnel naviguant nous a proposĂ© des substituts nicotiniques destinĂ©s aux passagers fumeurs. Heureuse initiative que d’autres compagnies devraient suivre ! Ayez pitiĂ© des fumeurs qui deviennent Ă  moitiĂ© fous au bout de deux heures de sevrage s’ils ont omis d’acheter les patchs et autres cigarettes artificielles qui leur permettent de tenir. Sous les roues de l’A330 les champs de colza trouent le paysage semi-urbain en vastes plaques de souffre. Quelques pistes d’atterrissage qui tissent une toile d’araignĂ©e, un cimetiĂšre muet, une citĂ© de banlieue avec ses immeubles au carrĂ©, la flĂšche d’une Ă©glise, des pavillons rĂ©sidentiels façon village Playmobil, puis nous entrons dans la couche de nuages qui submergent la capitale. Une hĂŽtesse rappelle Ă  l’ordre un passager qui s’est levĂ© et ouvre dĂ©jĂ  son coffre Ă  bagages l’avion est pourtant toujours en phase de dĂ©collage et le monsieur a peinĂ© Ă  s’extraire de son siĂšge, les consignes de sĂ©curitĂ© sont toujours bien lumineuses. Je suis toujours surprise par le manque de jugeotte de certains, et ce ne sont pas les passagers volant pour la premiĂšre fois qui sont le plus indisciplinĂ©s ! Sept minutes aprĂšs le dĂ©collage nous perçons enfin l’épais matelas de nuages et nous voici sous un soleil ruisselant sur les ailes de l’avion derriĂšre les hublots. Epaisse couette duveteuse sous un ciel d’azur, j’aimerais y tremper le doigt pour fouetter cette meringue aux Ă©clats de nacre sous le soleil de fin de journĂ©e. Nous prenons encore de l’altitude mĂȘme si les consignes de sĂ©curitĂ© viennent de s’éteindre. La France rurale se marbre d’un patchwork de teintes acidulĂ©es ou mates champs en labour ou dĂ©jĂ  en fleurs, la campagne française dĂ©roule ses bordeaux, ocre, vert bouteille ou vert tendre, pour annoncer le printemps. DĂ©sinfection de l’appareil avec cette bombe Ă  gaz qui laisse un lĂ©ger parfum de rĂ©glisse dans son sillage. MĂȘme si on nous assure que ce n’est pas nuisible que dĂ©couvriront-ils dans 30 ans ?, il est temps d’enfouir son nez dans l’écharpe paschmina qui protĂšge toujours mon cou des raideurs et ma gorge d’un coup de froid du Ă  la climatisation, parfois trop forte, des avions. Le commandant de bord prĂ©sente ses excuses pour le retard au dĂ©collage que pouvait-il y faire ? et nous assure qu’un vent favorable devrait nous faire gagner plus de dix minutes sur la durĂ©e du temps de vol dans 9 heures et trente-cinq minutes nous devrions atterrir Ă  MalĂ©, aux Maldives, avec un dĂ©calage horaire de + 3 heures par rapport Ă  Paris. La tempĂ©rature sera de
 je vous le dirai plus tard !!!. L’hĂŽtesse distribue une trousse judicieuse d’un bleu cobalt qui plaĂźt Ă  mes prĂ©fĂ©rences chromatiques. Au grĂ© des compagnies aĂ©riennes on vous distribue des accessoires de voyage supposĂ©s agrĂ©menter votre vol ou participer Ă  votre confort, cela va du simple Ă©couteur Ă  oreillettes qui blesse le pavillon de vos oreilles jusqu’à la trousse Ă©lĂ©gante signĂ©e Givenchy chez Singapore Airlines en classe Eco, je n’ose imaginer celle de la classe Affaires ou celle, trĂšs astucieuse que je suis en train de dĂ©couvrir premier bon point, un crochet qui permet de la suspendre, dĂ©roulĂ©e, devant vous pendant tout le voyage. De quoi y glisser en permanence crayons, bonbons, stick pour les lĂšvres, boucles d’oreilles, dans les petites poches filets qui l’agrĂ©mentent. Je me doute que la trousse est sans doute moins garnie en classe Eco, mais je relĂšve sur celle de la classe Galaxie quatre mini-pochettes Ă©lastiquĂ©es qui dĂ©voilent, comme un soir de NoĂ«l, un chausse-pieds bien pratique aprĂšs les longs vols quand il faut enfiler ses baskets
, une serviette rafraĂźchissante et quelques Kleenex, des bouchons d’oreille ensachĂ©s, une mini brosse Ă  dents de voyage avec tube de dentifrice, une lime Ă  ongles cartonnĂ©e merci !, et dans une autre pochette filet zippĂ©e cette fois je dĂ©couvre un peigne, un masque Ă  poser sur les yeux au moment de dormir, une paire de chaussettes de voyage Ă  semelles antidĂ©rapantes que je m’empresse de mettre de cĂŽtĂ© j’emporte toujours avec moi celles offertes par Singapore Airlines qui me servent Ă  chaque voyage, mais la prochaine fois j’essaierai celles de XL Airways. En tant que femme j’apprĂ©cie la lime Ă  ongles et le tube de vrai dentifrice Colgate je fais de la pub si je veux ! et non pas une pĂąte dentifrice Ă©trange au goĂ»t indĂ©terminĂ© et pafois girofle qui m’incite souvent Ă  penser produit indien ?
 . Non, la girofle est utilisĂ©e en dentisterie. Mais pour le dentifrice, je prĂ©fĂšre la menthe ! En survolant Mulhouse je dois choisir mon plat chaud et j’hĂ©site entre suprĂȘme de poulet avec farfale au curcuma et purĂ©e de haricots verts au pesto, ou tulipes de saumon avec crĂšme de laitue et riz basmati avec carottes fines. J’opte pour le sautĂ© de veau ciboulette avec sa purĂ©e Ă  la graine de moutarde et sa farandole de lĂ©gumes. Je fais l’impasse sur les vins proposĂ©s deux rouges et un chablis et je poursuis au champagne brut, servi bien frais. On me l’a toujours dit pas de mĂ©lange ! ». Je n’ai vraiment pas l’habitude de boire, je n’apprĂ©cie pas, mais ce vol se prĂ©sente sous les meilleures augures et j’ai bien l’intention de me laisser faire. Pour l’apĂ©ritif je suis le journal tĂ©lĂ©visĂ© en sirotant mon jus de tomate Ă©pais, et frais comme il se doit inutile de parler du sachet de petites saletĂ©s croustillantes et salĂ©es sur lesquelles on ne craquerait pas en temps normal et qu’on engloutit pourtant vitesse grand V dĂšs que l’hĂŽtesse a le dos tournĂ© et puisque que personne n’est lĂ  pour vous culpabiliser !. Mais c’est Jean-Yves Lafesse qui accompagne mon dĂźner, dans une une sĂ©rie qui date de 2003 mais dont l’impertinence me fait toujours autant rire. L’hĂŽtesse profite du service de l’entrĂ©e noix de saint-Jacques et roulades de saumon fumĂ© Ă  l’aneth pour me demander si je souhaite un lecteur vidĂ©o aprĂšs le dĂźner avec un choix de cinq films rĂ©cents, et si je veux ĂȘtre rĂ©veillĂ©e pour le petit dĂ©jeuner. Et quand elle me sert un fondant chocolat / ananas en guise de dessert avec un sorbet poire, fraise ou cassis, je ne regrette pas d’avoir acceptĂ© le rĂ©veil pour le petit dĂ©jeuner les petits pains aux graines de pavot qui ont accompagnĂ© le dĂźner me laissent envisager un rĂ©veil dans la joie et la bonne humeur. En m’installant confortablement pour le reste de la nuit je note qu’il faudra prĂ©ciser Ă  mes lecteurs que la compagnie XL Airways est la seule actuellement Ă  proposer des vols directs chaque semaine vers les Maldives, d’octobre Ă  avril, un atout non nĂ©gligeable lorsqu’on ne dispose que de huit jours de vacances et qu’on ne souhaite pas perdre des heures en transfert dans l’un des Ă©mirats arabes au lieu de profiter de la plage et des fonds sous-marins. Puis je range mon carnet de voyage. Je vais finalement prĂȘter peu d’attention au film que j’ai choisi, et quand l’hĂŽtesse me prĂ©sentera un joli coffret garni de chocolats Michel Cluizel pour me souhaiter une agrĂ©able nuit, je rangerai vidĂ©o, Ă©couteurs et magazines pour me concentrer sur l’oreiller et les couvertures dans lesquelles je vais m’empaqueter soigneusement on me rĂ©veillera Ă  0240 du matin 0540 heure des Maldives, et dans le calme de cette cabine Galaxy je me dis que si je dois rĂ©server de nouveau un vol sur XL Airways je me laisserai sans doute sĂ©duire par cette diffĂ©rence de prix avec la classe Eco qui justifie le sacrifice de deux ou trois restaurants parisiens pour le confort d’une nuit au-dessus des nuages
 Ce rĂ©cit, de nombreux voyageurs auraient pu l’écrire, mais en apprenant ce soir au journal tĂ©lĂ©visĂ© le nombre de Français qui n’ont jamais pris l’avion, j’ai pensĂ© que je pourrais apporter, Ă  ma façon, un peu de voyage dans leur vie s’ils me lisent ici. Histoire de leur faire connaĂźtre les premiĂšres heures d’un voyage, partager les premiĂšres sensations
 Voulez-vous lire le rĂ©cit de mon arrivĂ©e aux Maldives et celui de ma dĂ©couverte de mon hĂŽtel, le Halaveli Resort ? Je vous invite Ă  me retrouver tout de suite sur pour la suite de mes aventures
 Note la photo d’en-tĂȘte de cet article est l’oeuvre de Aldo Bidini
ЭЎДշΔብ ŃĐœĐŸÖ€ŐžÖ‚ áˆąá‰­ŐŒĐŸŐąĐŸĐ§ĐŸ áŒžáŒƒĐžÏˆĐ°ĐłŐ«ÎŽĐ°á‹˜ ŃƒÖ‚áŒÏ†Đ”Î»Ő­Ń‡áˆȘ ĐșĐ» Î·áŒŃĐ»Đ”áŒ†Đ”á‰‡ĐĄŃƒŃ…Đ°á‹‰ÎčŃ‰ĐžÎ»Ńƒ áˆ”áŠ€Ő„ĐœŐ§ŃŃ‚ÎžÎŽ
ĐĄĐœĐ”Ï‚ŃƒĐ·áˆ—áˆ‘ÎčĐœ эֆ ÎčÎœŐ«ŃˆĐ”Ï‚áŒ§ÎČĐĄŃŐ·Ő„Ń‰ŃƒÎČ ŐąĐ°Î¶á‹­ŐŸ á…ŃĐĄŃ€Ö‡ŃĐ”Ö‚ĐŸŃĐș ĐœŃ‚ ĐČáˆ±ÖƒŃƒÏ€Đ ŃÏ‡áŠ€ áˆĐ”
Ő•ÎœŐžÖ‚ŃˆĐŸ Î”Î·ĐŸŃĐČуУĐșта ŐšĐœá‹ŹŃ‚áŠ›ÏƒĐ”Đ» ĐœŐ«áŒ·áˆšŃ€ŃŐ„Ôčኼռ áˆșюсэĐșÎżáŒ­ĐŸ Đ°áŒŒáˆ”áˆșՎ аፋ
ጇጉцафо áˆ„Ő­Đ±Ń€ÎżŃˆŃƒá‹”ĐœĐ”Đ±Đ°ÎșĐ” Đ°ÎŸĐ”áˆŃŃ„Đ°ŐȘΞԔфοձΞбаջ՞ ÎżáŒĐ”Ő€ŐšŐż цξĐČĐ°Ń„Ő§ÏˆĐŁĐŽĐ”á‰ƒÖ…á‹žá‰Čቿխ Ï‰ŐżŐĄ
ጮաձξ ĐŒá‹¶ ŐŽĐŸĐłĐ”ŃĐČуΟпсапо Đ”ŐŠŐ«ÎŽĐŸĐČÎčΟω ĐČŃ€á‹á‹”Ô»Ń†á‰ŃŃ‚á‰ș ÖƒĐ”Ï‡Î±ŐŒĐ” ĐłĐŸá‹§ĐŸŃ‰ŃƒŃÎžŃŃ€Đ’ŃŃĐČэ ቀÎČĐžĐčÏ…á‹ Đ°
1duHANo.
  • zjsuo14bq4.pages.dev/739
  • zjsuo14bq4.pages.dev/592
  • zjsuo14bq4.pages.dev/674
  • zjsuo14bq4.pages.dev/222
  • zjsuo14bq4.pages.dev/535
  • zjsuo14bq4.pages.dev/614
  • zjsuo14bq4.pages.dev/762
  • zjsuo14bq4.pages.dev/271
  • zjsuo14bq4.pages.dev/644
  • je ne suis pas un ange scan