NotreDame de Paris. Le spectacle phénomène de Luc Plamondon et Richard Cocciante, d’après l’oeuvre de Victor Hugo, acclamé par plus de 106 900 personnes en 2018, revient au Québec en 2020 pour une série de repr Voir la fiche. Grand Théâtre de Québec.
Parcours Molière Parcours thématique Céline Candiard Introduction Maître incontesté de la comédie en France, Molière est le seul auteur comique du XVIIe siècle dont les pièces fassent aujourd'hui l'objet de mises en scène régulières. Cette faveur particulière est due essentiellement à son statut largement prédominant dans le panthéon des dramaturges français en effet, à l'instar de Shakespeare outre-Manche, Molière apparaît comme le saint patron du théâtre français, sa figure emblématique et son plus éminent représentant, tant pour la pratique du théâtre puisqu'il était comédien et chef de troupe que pour la composition de pièces. Cette qualité d'homme de théâtre total », du reste, est sans doute pour beaucoup dans le choix que fit la postérité de Molière, et non d'un Corneille ou d'un Racine, pour incarner le théâtre national. Une figure multiple De fait, la légende de Molière commence dès après sa mort. Son lieutenant La Grange s'occupe de l'entretenir, assurant notamment la publication de ses œuvres complètes, tandis que Grimarest publie en 1705 une Vie de Monsieur de Molière douteusement hagiographique qui servira de base à la connaissance du dramaturge pendant des siècles. Il est vrai que sur le plan de l'écriture comique, son œuvre a modifié en profondeur les pratiques françaises la comédie est désormais admise comme un art pleinement respectable et les poètes continuent d'imiter Molière ou de s'en inspirer pendant plus d'un siècle. Mais cette glorieuse postérité ne s'obtient qu'au prix d'une vision quelque peu déformée du personnage. On a souvent beaucoup insisté, à la suite de Grimarest, sur sa dimension de grand auteur classique, en mettant en avant ses études au prestigieux Collège de Clermont en réalité incertaines, ses lectures philosophiques, sa portée métaphysique. Pendant trois siècles, la tradition scolaire et intellectuelle a fait apparaître dans ses pièces les traces intertextuelles d'un Molière lettré et contemplatif, négligeant son activité plus terre-à -terre de chef de troupe. Or, à partir des années 1960, une partie des chercheurs et du monde du théâtre s'intéresse à cette dimension dédaignée de Molière, mettant en évidence les incertitudes des informations données par Grimarest, l'importance des années que Molière passa en province à jouer des farces et ses préoccupations commerciales de chef de troupe. C'est dans cet esprit qu'Ariane Mnouchkine réalise en 1978 le film Molière, longue fresque biographique en deux parties racontant la carrière du dramaturge de sa naissance jusqu'à sa mort en donnant une image moins lisse, plus archaïque, plus turbulente aussi de la France du XVIIe siècle, Mnouchkine a cherché à replacer la figure de Molière dans son contexte historique et culturel et à combattre le mythe classique de l'homme de lettres enfermé dans son cabinet. Petites » pièces De fait, c'est avec la composition de farces », petites pièces en un acte généralement conçues pour terminer la soirée théâtrale, que Molière connaît ses premiers succès La Jalousie du Barbouillé, Le Médecin volan t ou encore Gros-René écolier ont toutes été créées en province et, à en juger par leur reprise à l'arrivée de la troupe à Paris en 1658, elles y avaient été accueillies favorablement. C'est encore grâce à une farce, nous apprend La Grange, que Molière parvient à séduire le roi après l'avoir copieusement ennuyé par la représentation d'une pièce de Corneille. Molière a beau s'entêter à jouer quelques tragédies, il est loin d'y exceller autant que dans la comédie, sans doute en partie à cause d'une voix assez nasillarde, propice aux effets comiques mais peu adaptée à un héros pathétique. Dans sa première création parisienne, Les Précieuses ridicules, Molière reprend donc assez naturellement son personnage de valet comique Mascarille, qui avait déjà connu le succès dans L'Etourdi et Le Dépit amoureux . La pièce est un triomphe, mais les rivaux de Molière lui reprochent de n'être qu'un vulgaire farceur, ce qui le conduit à abandonner par la suite le rôle du valet fourbe au profit de rôles plus variés - maris jaloux, bons bourgeois, pères fantasques. C'est seulement à la fin de sa carrière, après sa brouille avec Lully, qu'il revient au rôle de ses premiers succès en créant Les Fourberies de Scapin 1671. Mais la pièce est un échec commercial, sans doute en raison de sa maladie qui le rend incapable d'assumer un rôle d'une telle exigence physique. De plus, la pièce s'attire les foudres des doctes, en particulier de Boileau, pour avoir emprunté certaines de ses scènes particulièrement la célèbre scène du sac au grand farceur Tabarin. Ces comédies où Molière s'était ménagé le rôle vedette du valet fourbe ne sont pas, de nos jours, les pièces les plus jouées du dramaturge on leur préfère généralement les grandes » comédies en cinq actes et en vers, jugées plus profondes. Les Précieuses ridicules ont cependant fait l'objet de quelques mises en scène marquantes au cours des dernières décennies, particulièrement celle de Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff au Théâtre de l'Odéon et au Théâtre National de Bretagne en 1997 de manière significative, c'est au sein d'une troupe déjà constituée, coutumière d'un théâtre ludique mettant en valeur les comédiens, que ce spectacle prend forme. Mais le plus souvent, les pièces les plus farcesques de Molière sont aujourd'hui chargées de cruauté, voire de violence, comme pour démentir leur apparente légèreté et leur donner une portée plus sérieuse c'est ainsi que la troupe de Deschamps fait apparaître la violence sociale contenue dans les dialogues des Précieuses . De la même manière, Jean-Louis Benoît donne au Scapin incarné par Philippe Torreton, dans sa mise en scène proposée à la Comédie-Française en 1997, une gravité désabusée, qui contraste avec le Scapin jubilatoire et métathéâtral de Daniel Auteuil dans la mise en scène de Jean-Pierre-Vincent, au Festival d'Avignon, en 1990. De manière significative, les pièces les plus souvent jouées et les plus commentées de Molière aujourd'hui sont ses grandes » comédies en cinq actes et en vers - auxquelles il faut ajouter Dom Juan, écrit en prose par manque de temps. Il s'agit en effet des pièces les plus originales de Molière et de celles qui établirent durablement sa réputation d'auteur comique d'exception. Grandes » comédies L'Ecole des femmes donna lieu au premier grand scandale de la carrière de Molière il fut accusé d'immoralité à cause de l'équivoque sexuelle de l'acte II, scène V la fameuse scène du le » », et même d'outrage à la religion à cause des Maximes du mariage » parodiques qu'Arnolphe fait lire à Agnès. C'est cet aspect corrosif et potentiellement scandaleux qui intéresse en premier lieu les metteurs en scène français à partir des années 1960 ainsi Jean-Paul Roussillon, dans sa mise en scène de 1973 à la Comédie-Française qui présente pour la première fois au public parisien la toute jeune Isabelle Adjani dans le rôle d'Agnès 00276, donne une vision cruelle et sombre du rapport de domination trouble entre Arnolphe et Agnès ; Antoine Vitez, quant à lui, inverse ce rapport dans sa mise en scène de 1978-1979, en faisant d'Arnolphe le jouet des manipulations perverses d'Agnès. De la même manière, malgré les témoignages du XVIIe siècle qui évoquent le jeu bouffonnant » de Molière dans le rôle d'Alceste, Le Misanthrope est le plus souvent joué comme une comédie sérieuse, voire un drame Antoine Vitez, dans sa mise en scène de 1988 à Chaillot, propose une méditation sur la solitude, une lecture biographique sur les tourments personnels de Molière. Les comédies les plus volontiers mises en scène sont aussi les plus subversives, particulièrement Tartuffe, qui suscita à sa création un scandale religieux sans précédent devant l'opposition de la Compagnie du Saint-Sacrement, puissant groupe de pression dévot, Molière mit cinq ans à pouvoir faire jouer sa pièce dans son théâtre, malgré le soutien du roi. On lui reprochait d'avoir donné de l'Eglise et des religieux, à travers son personnage de faux dévot Tartuffe, une image irrévérencieuse. C'est ce parfum de scandale qui séduit souvent les metteurs en scène, préoccupés avant tout de la portée de la pièce. Roger Planchon insiste ainsi, dans ses deux mises en scène de 1962 et 1973, sur les enjeux sociopolitiques de la pièce et la relation trouble, fortement érotisée, qui se joue entre Tartuffe et Orgon. Ariane Mnouchkine choisit quant à elle, dans sa mise en scène de 1995, de transposer l'intrigue de Molière dans l'univers islamique contemporain afin de dénoncer les ravages des fanatismes religieux. Des démarches comparables s'observent dans les spectacles inspirés par Dom Juan tandis que Planchon, qui présente la pièce en regard avec l' Athalie de Racine dans un spectacle de 1980, voi
SurLa Première, l'émission "De scène en scène" est le fruit d'une action culturelle menée par la RTS avec plusieurs partenaires. Elle offre au plus grand nombre des adaptations de captations
Publié le 30/06/2022 à 0943 Une folle traversée s'engage dans le port du Théâtre de la Renaissance. Soyez prêts à embarquer sur le Titanic ! Titanic/ Théâtre de la Renaissance Elles ont ravi les critiques du Figaro et se jouent à Paris, les meilleures pièces du moment sont dévoilées ici. Suivez le guide !"Titanic, la folle traversée" au Théâtre de la RenaissanceC'est à s'y méprendre, on pourrait se croire dans le Hall du Théâtre de la Renaissance prêt à embarquer sur le paquebot de légende. Bagages, capitaine et musiciens accueillent les spectateurs venus se plonger dans l'histoire tragique du Titanic. Là où le célèbre drame de James Cameron dépeignait les amours de deux Roméo et Juliette du début du XXe siècle, le ton est tout autre au Théâtre de la Renaissance. La pièce, sous la plume et la direction d'Axel Drhey, emprunte autant à la comédie farfelue qu'à la comédie musicale, sans oublier une pointe de drame indissociable du fait divers avec lequel est associée cette histoire. L'Iceberg est bien là , et c'est bien la même fin tragique qui attend les passagers du vaisseau des mers mais cette fois revisité avec un ton tragicomique VOTRE PLACE AVEC LE FIGARO Titanic, la folle traversée », jusqu'au 3 septembre, au Théâtre de la Renaissance Paris 10e.À lire aussiNotre critique de Titanic, la folle traversée"Le Crépuscule des singes" au Vieux ColombierDans cette pièce où se rencontrent deux maîtres de l'écriture, Molière d'un côté et l'auteur russe Boulgakov de l'autre, on est bien loin d'une quelconque relation avec le réel. L'un est issu du XVIIe, l'autre du XXe, et pourtant les deux s'offrent des rencontres parfaitement improbables dans des tableaux qui se succèdent. Ils discutent des sujets qui les animent la relation au pouvoir le Roi Soleil pour l'un et Staline de l'autre, les femmes mais aussi leurs états d'âme d'auteurs. Écrite par Alison Cosson et Louise Vignaud, cette fable en costumes, donne à voir ce que peut être le théâtre aussi, un jeu de l'esprit et un pur produit de l'imagination. Le Crépuscule des singes », jusqu'au 10 juillet, au Vieux Colombier Paris 6e.À lire aussiNotre critique de la pièce Le Crépuscule des singes Molière, hôte de Boulgakov"Weber, Molière, Marthouret" au Théâtre de PocheAssis à une table sur laquelle trônent tasses de café et verres d'eau, Jacques Weber et François Marthouret prennent place tout en poursuivant leur discussion. Les deux amis échangent encore et toujours, et de quoi d'autre pourraient-ils bien parler que de Molière ? Tout à leur sujet au combien passionnant, les deux oublient presque que sont rivés sur eux les yeux des spectateurs venus assister à ce spectacle de quasi-improvisation que les deux maestros proposent. Quand l'un lit des vers, l'autre écoute attentivement avant d'interagir, de commenter. Toutes les références au théâtre classique y passent, celles plus contemporaines aussi. Et à la fin de la représentation, c'est finalement à une gentille joute complice que les visiteurs de ce lundi soir auront eu la chance d' VOTRE PLACE AVEC LE FIGARO Weber, Molière, Marthouret », jusqu'au 11 juillet, au Théâtre de Poche Paris 6e.À lire aussiNotre critique de Molière Jacques Weber et François Marthouret trinquent à l'auteur de Tartuffe"Paris la grande" au LucernaireEn voilà , un titi parisien comme on les aime, fou de sa capitale et de son patrimoine. Philippe Meyer, le journaliste amoureux de son et de musique, en atteste sa célèbre émission La prochaine fois je vous le chanterai » qui passait tous les dimanches matin sur France Inter, revient dans un spectacle-discussion sur Paris. Après son précèdent spectacle Ma radio, histoire amoureuse, il s'attaque à la capitale. Elle a inspiré à son auteur ce spectacle en chansons comme avant lui, ses précédents serviteurs poètes, auteurs, musiciens qui lui ont d'une manière ou d'une autre rendu hommage. Seulement accompagné de son accordéoniste, Philippe Meyer conte Paris comme il la fantasme mais aussi comme il la vit. Ses souvenirs et ses regrets, en convoquant les grands classiques du Paris décrit et chanté de Frehel à Marcel Aymé, de Sartre à Piaf. Paris la Grande », jusqu'au 21 août, au Lucernaire Paris 6e.À lire aussiNotre critique de Paris la grande, la ville lumière en musique"Jean-Baptiste, Madeleine, Armande et les autres" à la Comédie françaiseLes coulisses de Molière, la réalité derrière les rideaux tirés, c'est ce que cette pièce se propose d'étudier. À la manière d'une série sur les dessous de la vie du maître, on y voit le quotidien d'un Jean-Baptiste Poquelin affairé à maintenir l'estime que lui porte le roi, à gérer les tribulations des acteurs de sa troupe ou encore à se questionner sur la manière dont s'écrit une pièce. Marié à Armande Béjart depuis peu, elle, et tout une bande de personnages gravitent autour de lui et participent de près ou de loin à son succès à l'époque de l'École des femmes jouée au Palais Royal. On surprend ainsi des moments de vie, de doute et de désaccord entre ces personnages loin du faste et du sérieux de la représentation théâtrale. Une manière originale et inattendue de traiter du sujet Molière ».RÉSERVEZ VOTRE PLACE AVEC LE FIGARO Jean-Baptiste, Madeleine, Armande et les autres », jusqu'au 25 juillet à la Comédie-Française, salle Richelieu Paris 1er.À lire aussiNotre critique de la pièce Jean-Baptiste, Madeleine, Armande et les autres Molière à la noce
Travèrsest une escapade artistique qui nous invite à filer d’un pas léger sur les chemins de Compostelle / GR®65pour découvrir des paysages, des artistes et des histoires. Cette année, exceptionnellement, Travèrs, se déploie très largement dans l’Aveyron et le Lot et vous propose, durant 3 week-ends de septembre, une traversée joyeuse et joueuse.
Besoin d’évasion en ces temps hivernaux un peu moroses ? Paris et sa richesse culturelle éternelle ont largement de quoi étancher votre soif d’émerveillement. Pièces de théâtre, one-man shows, comédies musicales, ou encore cirque la ville lumière ne dort jamais en termes d’activités. Suivez le guide, on vous a concocté une sélection des meilleurs spectacles auxquels assister en ce moment. The Joke Comedy Club Dans son cadre chic et son ambiance sobre, le Joke Comedy Club vous accueillera dans le 4e arrondissement en vous proposant la crème de la crème de la scène stand-up française. Chaque soir, 5 ou 6 humoristes s’y succèdent sur scène pour vous faire passer un moment mémorable, forts d’un humour acéré et de vannes bien trouvées. Concert 100% rock avec Cherry Pills et The Grand Prix Rendez-vous le 12 juillet prochain à la Dame de Canton pour assister à un concert exceptionnel de Cherry Pills et The Grand Prix. L’ancienne jonque chinoise servira de terrain de jeu aux groupes français énergiques pour des performances de haute intensité. Du bon rock bien rafraîchissant pour les chaleurs estivales ! Réservez ici ! Stand-up, tapas et cocktail au O’Comedy Club Pour une soirée insolite des plus complètes, il faudra se diriger au cœur de Paris, et plus particulièrement au O’Comedy Club et son grand loft de 300 mètres carrés. Tous les premiers vendredis du mois, vous êtes attendus pour y siroter un cocktail, déguster des tapas, écouter de la bonne musique en live et surtout, vous fendre la poire en compagnie des étoiles montantes du stand-up ! Des soirées grandioses en perspective ! Est-ce que j’ai une gueule d’Arletty ? Au Théâtre Michel La formidable pièce aux deux Molières revient à Paris, cette fois sur les planches du Théâtre Michel. Le biopic musical et historique fait la part belle à Arletty, la star des années 30 et 40 autour d’une pièce poétique et magique. Dans une valse étourdissante, quatre acteurs talentueux y endossent le rôle d’une trentaine de personnages hauts en couleur autour de l’icône. Du bon jeu, de la danse, du chant c’est une véritable performance artistique qui vous attend dès maintenant ! Festival d’Humour de Paris à Bobino Assistez à la 7ème édition du tant attendu Festival d’Humour de Paris à la fin juin. 5 soirées exceptionnelles vous attendent en compagnie des plus grandes stars de l’humour français. Paul Mirabel, Morgane Cadignan, Verino et bien d’autres se relayeront sur scène dans le seul et unique but de vous faire rire à gorge déployée. Un moment unique sous le signe de la bonne humeur à partager en famille ou entre amis à Bobino ! Vos places ici Une histoire d’amour à la Scala Après les succès fous du Porteur d’Histoire, d’Edmond et d’Intra-Muros, Alexis Michalik a dévoilé il y a deux ans sa dernière pièce au public parisien. Couronnée de succès, cette histoire bouleversante est à nouveau jouée à la Scala jusqu’au 26 mars prochain. Habitués et néophytes du théâtre, venez découvrir tout le talent du metteur en scène le plus en vogue de la capitale à travers cette pièce riche en émotions. Le Don-K Comedy Club Pour décompresser après une journée dans le tumulte parisien, quoi de plus revigorant qu’une bonne tranche de rigolade en compagnie des étoiles montantes de la scène stand-up française ? En plein cœur de Saint-Germain-des-Prés, le Don-K Comedy Club accueille presque tous les soirs quatre humoristes ayant pour seul but de chauffer vos zygomatiques. Esclaffez-vous et accompagnez vos barres de rire d’une boisson bien rafraichissante, d’un cocktail ou d’une savoureuse planche de terroir. Le Roi Lion au Théâtre Mogador Difficile d’être passé à côté de ce show à l’immense succès planétaire, le Roi Lion version comédie musicale se joue en ce moment dans l’antre majestueuse du Théâtre Mogador. Suivez le destin du jeune Simba et de ses compères à travers ce show haut en couleur mêlant effets visuels éblouissants et musiques cultissimes. En famille, entre amis ou à deux, venez vous émerveiller devant l’adaptation magique du chef-d’œuvre de Disney ! Nos plans recommandés
Spectaclesà venir : THÉÂTRE / COMÉDIE. JOYEUSE FIN DU MONDE . Après le succès de Dans la peau de ma femme, la nouvelle comédie hilarante de Guilhem Connac et Benoît Labanierre ! Samedi 24 septembre à 20h30 Durée : 1h20 Tout public – Dès 12 ans. Une pièce de Gilhem Connac et Benoît Labannierre Avec : Benoît Labannière, Eddy Barbier, Alexia Peyri, Stéphane
Publié le 20/04/2022 à 0936, Mis à jour le 20/04/2022 à 1402 Patrick Cohen et Alexis Michalik Capture d'écran "C à vous" Mardi 19 avril, Anne-Élisabeth Lemoine et sa bande recevaient l’acteur et metteur en scène à succès. Évoquant l’un de ses spectacles actuellement à l’affiche, Les producteurs, le chroniqueur du talk-show a joliment gaffé. Une heure trente de spectacle racontée en une dizaine de secondes. Dans C à vous» mardi soir, Patrick Cohen s’est prêté à l’exercice face à Alexis Michalik, quitte à en dire trop. Le metteur en scène était invité du talk-show de France 5 pour parler d’un documentaire à son sujet qui sera diffusé sur la même chaîne, ce vendredi à 22h40. Alexis Michalik, l’homme pressé raconte comment l’artiste français a réussi à adapter un film de Mel Brooks en une pièce de théâtre à succès, Les producteurs.» LIRE AUSSI - Il est dommage qu’elle évite la confrontation» Patrick Cohen réagit au refus de Marine Le Pen de participer à C à vous»L’échange entre l’invité et la bande de C à vous» se déroulait sans accroc jusqu’à l’intervention de Patrick Cohenqui a légèrement refroidi le metteur en scène. Alors que le chroniqueur commence à donner le pitch de la pièce, l’éditorialiste qualifie les deux protagonistes de minables, filous». Alexis Michalik s’empresse de le corriger Un producteur sur le retour et un jeune comptable.» Peu réceptif à cette première maladresse,Patrick Cohencontinue à détailler la pièce mais se fait interrompre par son invité, qui lâche, ironique Très très bien pitché, merci!»Face à l’air interrogateur de son interlocuteur, Alexis Michalik ajoute que son résumé n’est pas mal» avant de mieux présenter la pièce à son tour. Ils décident de faire le plus mauvais spectacle possible pour garder l’argent parce que si le spectacle s’arrête à la première personne ne viendra leur demander où est l’argent. Et l’argent qu’ils auront levé, ils le garderont pour eux», synthétise le réalisateur d’ d’Anne-Élisabeth LemoineDéterminé à reprendre la parole, Patrick Cohen s’emballe et révèle la fin du spectacle d’Alexis Michalik. Et donc ils choisissent la création d’un ancien nazi qui a écrit “Des fleurs pour Hitler”, le truc improbable», initie-t-il. Tout à fait», confirme le metteur en scène. Le journaliste, enthousiaste, se laisse aller jusqu’à raconter la fin. Et ça marche!», lance-t-il avec un grand mine joyeuse en parfaite opposition avec celle d’Alexis Michalik. Ça, ça arrive au bout d’une heure trente de spectacle mais merci d’avoir déjà donné la fin, peste-t-il dépité. Ça fait toujours plaisir». Particulièrement gêné, Patrick Cohen tente de se justifier expliquant qu’il n’a pas encore vu le spectacle mais connai[t] le film». Une gaffe qui a provoqué l’hilarité d’Anne-Élisabeth Lemoine, elle aussi adapte des bourdes, et qui n’a pas vraiment su sauver son chroniqueur.» Suivez toutes les infos de TV Magazine sur Facebook et Twitter .À VOIR AUSSI - Emmanuel Macron rit aux larmes face à la chronique de Bertrand Chameroy dans C à vous» Merci d’avoir donné la fin de mon spectacle...» Alexis Michalik refroidi par une bourde de Patrick Cohen dans C à vous» S'ABONNERFermerS'abonner
Réservezvos places de theatre pour : UNE IDEE GENIALE - GRAND THEATRE 3T. Le prix des places est à partir de : 24.00 €. Date : mardi 5 juillet 2022 au samedi 30 juillet 2022. Vous disposez par ailleurs du service e-ticket pour imprimer vos billets à domicile dès la fin de commande pour UNE IDEE GENIALE.
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Résumédu spectacle. Après plusieurs monologues beckettiens en compagnie de Denis Lavant, Jacques Osinski fait un nouveau pari, excitant et effrayant : Fin de partie, la grande pièce de Beckett, sa préférée. Tout à coup, il faut voir les choses en grand. Sommes-nous sur terre ? Sommes-nous sur l’arche de Noé après la fin du monde
l'essentiel Du 27 au 31 juillet, la place Foch à Rodez accueillera le nouveau spectacle de Rutènes en scène, "Jusqu’aux cerises s’il le faut", une fresque théâtrale retraçant la grève de 66 jours des mineurs du Bassin de Decazeville-Aubin. Un spectacle à la fois grandiose et émouvant. Nous les avions quittés, un soir de décembre froid et pluvieux, dans les locaux d’une ancienne école du centre de Rodez. Nous les avons retrouvés en ce dimanche ensoleillé et chaud de juin, dans la grande salle de Calcomier. Tous ou presque étaient là , sous la conduite du metteur en scène Laurent Cornic, véritable chef d’orchestre du nouveau spectacle de l’été de Rutènes en scène. Durant la dernière semaine de juillet, place Foch, ce spectacle plongera les spectateurs d’ici et d’ailleurs, dans les entrailles de la terre, à la rencontre de tous ces personnages qui furent les acteurs de la grande grève de 1961-1962 des mineurs du Bassin de Decazeville. L’une des pages marquantes de l’histoire du mouvement ouvrier. 60 acteurs sur scèneJoignant le geste à la parole, Laurent répète inlassablement les consignes et n’hésite pas à tancer gentiment ceux qui n’ont pas suffisamment appris leur texte. "Certains acteurs n’ont jamais joué et ils commencent à s’en rendre compte, lâche en souriant le metteur en scène. Mais ça commence à bien prendre." Sur scène, ils seront près d’une soixantaine de comédiens, auxquels il convient d’ajouter les costumiers, les décorateurs, les responsables de la régie et les techniciens amateurs et professionnels. Au total, une bonne centaine de personnes sera mobilisée pour chaque spectacle. "Je suis habitué à faire de grandes mises en scène, mais pas aussi grandes tout de même", avoue l’homme de théâtre, dont tout le monde loue le professionnalisme. Un contexte difficileMonter un tel spectacle avec autant de monde n’est pas facile, d’autant que la situation sanitaire n’a guère facilité les choses. Les premières répétitions ont débuté en septembre dernier. Absences des uns, annulations, reports… "Avec le Covid-19, ce fut une horreur", confirme Laurent, le temps d’une courte pause, entre deux scènes. "Mais je sais que ce sera quelque chose d’exceptionnel, avec la double vision du fond de la mine et du jour. Quelques scènes sont vraiment très belles, se réjouit-il d’avance. C’est une pièce qui traite avant tout de l’humain, en évitant les jugements et sans trop verser dans le dramatique."Les décors, particulièrement soignés à l’image de la galerie de mine, et la technique seront également à la hauteur de l’événement. Un écran géant de 8 mètres sur 5, permettra notamment aux spectateurs d’avoir un œil permanent sur ce qui se passe au fond. Des images d’archives de l’Ina, comme celle de l’immense manifestation qui avait réuni 50 000 personnes rendez-vous compte ! sur la place Decazes et dans la rue Cayrade, seront également projetées pour mieux restituer l’ambiance de l’ et émotionCertains acteurs sont véritablement habités par leurs personnages, ce qui donne encore plus de force au spectacle. Le jeune Fumel, enfant, est appelé pour tirer au sort les vingt mineurs volontaires et leurs suppléants. La tension et l’émotion accentuées par la chaleur suffocante sont palpables. Imperturbable, Christophe Ribeyre, l’auteur de la pièce, qui a réalisé un remarquable travail de collectage et de retranscription au plus près de la réalité historique, a endossé le costume pas facile à porter à l’époque du directeur de la mine. Les différents tableaux s’enchaînent dans une communion générale jusqu’à l’hommage final aux Carboniers de la Sala, célèbre texte de Jean Boudou, qui fut chanté par Mans de Breish. Nombre de spectateurs auront de toute évidence la larme à l’œil tant il est vrai que les événements d’alors furent durs et éprouvants pour tous ceux, femmes, hommes et enfants qui les ont vécus. Dans moins d’un mois, la belle équipe des Rutènes prendra ses nouveaux quartiers d’été sur la place Foch, où les premières répétitions in situ auront lieu le 24 juillet, avant la générale, sur invitation, du 26 juillet. Les gueules noires de Laurent Cornic et de Christophe Ribeyre verront bientôt le bout du tunnel. Pardon, de la galerie de mine…
Finde service de la compagnie Cavalcade offre un bon moment d’amusement.La pièce raconte l’histoire d’une femme aisée qui s’ennuie terriblement dans sa
Rund Um. 6 août 1870 première grande bataille de la guerre franco-prussienne, et première défaite des Français. A Froeschwiller, un grand spectacle historique va rappeler l'événement - mais à l'échelle de ce village, qui s'est alors retrouvé malgré lui au cœur du conflit. Le 6 août 1870, Prussiens et leurs alliés allemands, et Français mal préparés, s'affrontent dans le Nord de l'Alsace. Après une seule journée de combat, morts restent sur le champ de bataille. Cette première défaite de la France annonce déjà les suivantes, et à l'issue du conflit, l'Alsace et la Moselle deviennent allemandes. Côté français, on appellera cet épisode la "bataille de Reichshoffen". Puisque c'est de la gare de cette commune que le général Patrice de Mac Mahon envoie un télégramme à Napoléon III pour lui annoncer sa défaite. Mais en réalité, les combats se déroulent sur une vingtaine de kilomètres carrés de vergers et de vignobles, près de Woerth et Froeschwiller. Ce dernier village est particulièrement impacté. Maisons touchées, église incendiée, petit château transformé en lazaret de fortune pour accueillir des blessés. Et les habitants mettent cinq jours à enterrer des milliers de cadavres de soldats dans des fosses communes. Le spectacle historique en préparation, "1870 Froeschwiller – l'Alsace dans la tourmente – Achdung ! D'Braïsse komme !" Attention ! les Prussiens arrivent ! qui sera donné fin juillet et début août, veut surtout transmettre un récit à taille humaine. "Ce qui nous intéresse, c'est ce que les gens, les villageois, ont vécu" explique l'auteur du texte, et metteur en scène, Joseph Fenninger, créateur du théâtre de la Chimère à Haguenau. Narrer la petite histoire, pour mieux faire comprendre la grande. Les préparatifs sont bien avancés, et la plupart les scènes, déjà rodées. Elles sont principalement jouées en alsacien, avec quelques dialogues en français ou en allemand, et le tout sera surtitré. Les tableaux racontent les tribulations des habitants de Froeschwiller, depuis les prémices de la guerre, jusqu'à la perte de l'Alsace-Lorraine suite au traité de Francfort. Des scènes souvent drôles, qui font replonger dans l'ambiance villageoise d'il y a 150 ans. Des vieux sur un banc se racontent les derniers potins, et tombent des nues en apprenant que la guerre est imminente. Une famille chipe des objets délaissés sur le champ de bataille, et les planque dans un lit, dans l'espoir que les Prussiens ne les retrouveront pas. Un vieux couple fait un petit mix linguistique entre l'envie de "vivre" et celle de "Wiiwer" de bonnes femmes. "On rit beaucoup, ce qui est rare dans une pièce historique" reconnaît son auteur. En précisant que ces scènes, à peine enjolivées, "juste retranscrites avec un peu de fantaisie" sont toutes basées sur des faits avérés. La plupart sont tirées de la "Fröschweiler Chronik aus dem Jahre 1870-71" Chronique de Froeschwiller de l'année 1870-71, un ouvrage par un témoin direct de l'époque, le pasteur Charles Klein. Joseph Fenninger l'avait découvert il y a près de 40 ans, alors qu'il était enseignant à Woerth. A l'époque il avait déjà écrit une première version de la pièce actuelle. Et les gravures qui illustrent l'ouvrage l'ont largement inspiré pour la mise en scène. "Cette pièce raconte ce que les gens du village ont ressenti" résume Andrée Steinmetz-Meichel, l'une des comédiennes. "Soudain ils disent les Prussiens arrivent, les Prussiens sont là . Et après, les événements s'enchaînent, les destructions, les morts, les soucis, les gens qui ont peur, d'autres qui fuient. C'est la guerre. Comme actuellement, en Ukraine." A Froeschwiller, passé et présent restent intimement mêlés. La plupart des maisons à colombages qui bordent l'artère principale sont restées inchangées depuis cette période. Les deux églises, elles, ont été construites peu après, grâce aux fonds réunis par l'empereur Guillaume II lui-même, pour remplacer l'église simultanée qui avait brûlé le jour de la bataille. "Tout est lié" rappelle Marc Bastian, maire de la commune. "Guillaume II a collecté de l'argent dans toute l'Allemagne. La somme a suffi pour reconstruire la grande église - aujourd'hui protestante - appelée église de la Paix "Friedenskirche", mais aussi pour en édifier une seconde - catholique - l'église Saint-Michel de la Réconciliation "Versöhnungskirche". Les vitraux de l'église de la Paix, achevée dès 1876, ont été offerts par les monarques des différents Länder de l'Allemagne naissante. Les cloches ont été financées par l'empereur lui-même, l'orgue par la Bavière, et le lustre monumental par trois villes du Nord Hambourg, Brême et Lubeck. L'édifice a beaucoup souffert durant les deux conflits mondiaux qui ont suivi "Certains vitraux ont volé en éclat, une grenade a atterri dans le chœur" rappelle le maire. Le chœur, très fragilisé, nécessiterait d'importants travaux de consolidation, mais aujourd'hui, les finances manquent. Malgré cela, tout récemment, le bâtiment dans sa totalité a pu être classé comme Monument historique. Mais la commune et la paroisse voudraient aller encore plus loin. "La signification de cette église était de promouvoir la paix après cette guerre" explique Marc Bastian. "Aujourd'hui, la paroisse porte le projet d'en faire un centre culturel européen de la paix." Un lieu symbolique, ouvert sur l'Europe, qui permettrait, par le biais de manifestations, de concerts, d'expositions, "de pouvoir expliquer ce qui s'est passé ici, et ce qui fait notre spécificité en tant qu'Alsaciens." L'idée est née avant le début du conflit en Ukraine, mais l'actualité dramatique aux portes de l'Europe ne la rend que plus nécessaire. Pour rappeler que la paix n'est jamais réellement acquise. "Les morts du 6 août 1870, et beaucoup d'autres choses, ont été oubliés" déplore Marc Bastian. "Or, si on sait d'où l'on vient, on peut bien mieux se projeter, et prévoir où l'on voudrait aller." Ce travail sur la mémoire collective est également au cœur de la pièce de Joseph Fenninger. Là aussi, passé et présent entrent en résonance. Le tableau des Froeschwillerois, réfugiés dans une cave voûtée alors qu'autour d'eux, les combats font rage, fait douloureusement écho aux civils ukrainiens entassés dans les sous-sols de leurs immeubles bombardés. Il y a aussi des tableaux plus métaphoriques, comme ce dialogue drolatique entre un aigle prussien et un coq gaulois. Et, surtout, l'émouvant finale, avec une Alsace tiraillée, écartelée entre la France et l'Allemagne. "Lohn mi doch en Ruh, ehr zwei Simbel !" Laissez-moi tranquille, espèce d'imbéciles s'exclame-t-elle. Laissez-moi accomplir ma propre existence. Je veux garder mon héritage, ma langue, mon passé historique et culturel … Laissez-moi vivre, non en esclave, mais en être libre, avec son caractère, ses particularismes et son identité … Je ne veux pas mourir." Un finale déjà écrit et joué il y a plus de quarante ans. Qui n'a rien perdu de sa brûlante actualité. Le spectacle "1870 Froeschwiller – l'Alsace dans la tourmente – Achdung ! D'Braïsse komme !" sera donné à la salle des fêtes de Froeschwiller les jeudi 28, vendredi 29 et samedi 30 juillet ainsi que les jeudi 4, vendredi 5 et samedi 6 août. Ce 6 août, date anniversaire de la bataille, d'autres animations seront proposées tout au long de la journée. Et dès la nuit tombée, un mapping vidéo sera projeté sur l'église de la Paix.
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fin d une pièce à grand spectacle