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Cet article date de plus d'onze ans. Depuis lundi, Joakim Noah a vu son salaire multipliĂ© par 20, une augmentation aussi importante qu'indĂ©cente dans l'esprit du grand public. Le joueur des Bulls de Chicago va dĂ©sormais toucher un salaire annuel de 12 millions de dollars environ 8,7 millions d'euros. Il devient le sportif français le mieux payĂ©, devant le septuple champion du monde des rallyes, SĂ©bastien Loeb, et un autre basketteur de renom, Tony Parker. Comme quoi, le foot n'a plus la cote ! Article rĂ©digĂ© par PubliĂ© le 05/10/2010 1355 Temps de lecture 2 min. Jusqu'en fin de saison derniĂšre, Thierry Henry pointait trĂšs largement en tĂȘte de ce classement qui n'a rien de sportif. Alors joueur du FC Barcelone, l'ancien capitaine de l'Ă©quipe de France de football percevait 18,8 millions d'euros annuel contrats de publicitĂ© compris, selon une Ă©tude publiĂ©e par le Financial Times, relayĂ©e par L'Equipe mag. Mais "Titi" Ă©tant dĂ©sormais en "prĂ©-retraite" dans le championnat nord-amĂ©ricain avec les Red Bull de New York, le malheureux ne touche plus que 5,6 millions de dollars 4,35 millions d'euros, derriĂšre David Beckham 6,5 millions de dollars, le joueur de Los Angeles Galaxy Ă©tant le mieux payĂ© de la Ligue...En quelques mois, une petite rĂ©volution s'est opĂ©rĂ©e, car dĂ©sormais, le basket rapporte visiblement plus que le football. De lĂ  Ă  dire que la polĂ©mique sur les salaires des footeux est terminĂ©e... A 25 ans, Joakim Noah "pĂšse" 8,7 millions d'euros hors contrats publicitaires. Pour arriver Ă  ses fins, le joueur n'a pas hĂ©sitĂ© Ă  faire monter les enchĂšres, exigeant dans un premier temps 65 millions de dollars, et la rumeur d'un transfert Ă  Denver, Ă  peut-ĂȘtre accĂ©lĂ©rer les choses. Mais le fiston de Yannick ne fait finalement que profiter d'un systĂšme devenu complĂštement fou, la faute aux annonceurs, aux mĂ©dias, ... Le sport rapporte, et les investisseurs l'ont bien compris. Alors si un joueur a du talent -ce qui est le cas de Noah avec une moyenne de 14,8 points et 13 rebonds par match lors des deux derniers play-offs- son salaire peut atteindre ces sommes qui est le plus fĂącheux dans cette situation, est que l'esprit du sport, tel qu'on l'entendait il y a encore quelques annĂ©es, y a perdu Ă©normĂ©ment d'un point de vue Ă©thique. Rappelez-vous le dernier Mondial de basket qui a eu lieu en septembre dernier. En pleine nĂ©gociation avec son club, Noah avait fait preuve d'une certaine franchise en expliquant qu'il avait dĂ©clinĂ© la sĂ©lection en Ă©quipe de France, afin d'Ă©viter tout risque de blessure... Et le mĂȘme discours avait Ă©tĂ© tenu par Tony Parker. Le basket Ă©tant moins mĂ©diatisĂ© dans l'hexagone, ces absences Ă©taient presque passĂ©es inaperçues. Aurait-on apprĂ©ciĂ© de voir en 1998 Zinedine Zidane dĂ©cliner une sĂ©lection pour une Coupe du monde, en expliquant qu'il se trouvait en pleine nĂ©gociation pour son contrat ?Les footballeurs ne sont donc plus les seuls Ă  placer leurs intĂ©rĂȘts personnels avant ceux de l'Ă©quipe nationale. Le constat est identique, voire plus flagrant dans le monde du tennis. Roger Federer, qui a pourtant tout gagnĂ©, dĂ©cline trop souvent des sĂ©lections pour disputer la Coupe Davis. Les joueurs du Top 10, que ce soit sur le circuit fĂ©minin, ou masculin, sont curieusement souvent absents lors de ces rendez-vous internationaux. C'est pourtant lors de ces rendez-vous que l'esprit du sport se trouve transcendĂ©, que nos chĂšres petites tĂȘtes blondes se mettent Ă  rĂȘver. Et sans ce rĂȘve, le sport aura beaucoup Ă  perdre, y compris les sportifs professionnels.
Commentse faisait-il que la “rĂ©volution si elle rĂ©siste Ă  tous les coups, si nos Scipion de province et de pacotille doivent se contenter de rĂȘver, c’est que la majoritĂ© du peuple des salariĂ©s de ce pays est attachĂ©e Ă  cet instrument de libĂ©ration, qu’elle refuse l’obscurantisme oĂč voudraient la replonger tant de bonnes Ăąmes charitables qui crient haro sur la bĂȘte et DEVOIR DE MÉMOIRE - Selon un sondage CSA, 42% des Français ignoreraient ce qu'est la Rafle du Vel' d'Hiv. Cette proportion serait mĂȘme de 60% pour les 18-24 ans. En ce jour de commĂ©moration, je me propose de publier ce petit texte, que j'avais Ă©crit lors de la sortie du film de Rose Bosh, La Rafle. La Shoah, c'est has been. "Est-ce qu'on sera grands, un jour ?" Si l'un de nos Ă©lĂšves demande ça Ă  mon collĂšgue d'Histoire, il n'aura pas de mal Ă  lui rĂ©pondre; bon, bien sĂ»r, il y le prion et la grippe du porcinet, et le rĂ©chauffement climatique, et Jihad-Jane, mais bon, Ă  priori, nos chĂšres tĂȘtes blondes devraient tranquillement passer leur brevet, leur bac, Ă©ventuellement mĂȘme quelque L3 ou Master, et puis boire, fumer, conduire, aimer, trahir, mentir, voler, berner, promettre, permettre, procrĂ©er, survivre, pleurer, sourire, servir, voyager, s'engager...Vivre, enfin. Simon Zygler, l'ami du hĂ©ros de La Rafle, lorsqu'il demande cela, sait dĂ©jĂ , au fond de lui, que c'est bien mal parti pour lui et pour son petit frĂšre, le bouleversant petit Nono. Sur les 4051 enfants du Vel d'Hiv', aucun, en effet ne reviendra. Et seulement 25 adultes rentrĂšrent des camps d'extermination, sur les juifs assassinĂ©s par les autoritĂ©s du rĂ©gime national-socialiste, mais, auparavant, trahis par la France. Alors oui, cher collĂšgue, tu as raison, quand tu me dis que non, tu n'emmĂšneras sans doute pas nos Ă©lĂšves voir le film de Rose Bosch, prĂ©textant d'une part le manque de crĂ©dibilitĂ© historique, d'autre part un traitement de l'Histoire - tu m'expliques que tu prĂ©fĂšres aller voir avec eux Nuit et Brouillard, mĂȘme si c'est dur pour des collĂ©giens, car c'est, au moins, du rĂ©el . Tu as raison, il y a des imperfections, comme cette Ă©normitĂ© qui agresse le spectateur dans les derniĂšres minutes du film, lorsque la Juste , l'infirmiĂšre Annette, retrouve le petit Nono , juste avant que le titrage de fin ne nous informe qu'aucun enfant n'est revenu du royaume des morts. Mais, franchement, Ă  ce moment lĂ , le spectateur lambda est plus occupĂ© Ă  essuyer son mascara ou Ă  toussoter dans sa barbe qu'Ă  comptabiliser le nombre de survivants... Comme toi, tes collĂšgues du lycĂ©e, auxquels je posais la mĂȘme question, ont fait la moue, m'expliquant que l'on traite cette pĂ©riode dans les tous premiers moments du programme, mais me laissant entendre que, bon, tout cela sentait le rĂ©chauffĂ©. Etrange, car la critique est unanime sur le sujet du traitement de l'Histoire ; jusqu'au vĂ©ritable Jo Weissmann, qui explique mĂȘme que, puisque tout est dit dans ce film, il pourra arrĂȘter de tĂ©moigner. J'ai d'ailleurs lu qu'une version courte du film serait distribuĂ©e dans les Ă©tablissements scolaires. Mince alors, comment ferez-vous, chers collĂšgues, mis au pied du mur -des Lamentations ? Pardon, elle Ă©tait facile. PrĂ©tendrez-vous encore que la Shoah, c'est has been ? Hors programme ? DĂ©passĂ© ? Trop imprĂ©gnĂ© d'actualitĂ© politique dĂ©rangeante, comme les exactions sionistes de l'Ă©tat d'IsraĂ«l Ă  Gaza ? On va y jouer encore longtemps, entre deux jeux du Foulard et de Petit Pont Massacreur, entre le voile et les vacances, entre les grĂšves et les rĂ©sultats du bac, Ă  cette opposition frontale entre le phosphore blanc de Gaza et le Zyklon B ? Oh, ce n'est pas nouveau, cette rĂ©action de frilositĂ© mĂątinĂ©e d'agacement, mĂȘme des amis osent me le dire, malgrĂ© ce qu'ils savent de ma judĂ©ophilie de professeure d'allemand spĂ©cialisĂ©e dans la poĂ©sie de la Shoah; oui, dans un subtil mĂ©lange d'antisĂ©mitisme dĂ©guisĂ© en apologie de toutes les intifadas, dans un joyeux mĂ©lange de lassitude -Ne crois-tu pas qu'il faudrait aussi parler du Rwanda ?- et de critique virulente de la politique expan-sionniste d'IsraĂ«l, on me l'assĂšne rĂ©guliĂšrement, et cela me fait aussi mal que quatre heures de projection de Lanzmann ou qu'une visite d'Auschwitz On me l'a servi ce matin mĂȘme sur Facebook ! Mais justement, l'Histoire se rĂ©pĂšte, elle n'est jamais finie, c'est l'Eternel Retour de la victime et du bourreau. Lorsque la jeune fille demande Ă  son pĂšre, dans le film, pourquoi il ne les as pas protĂ©gĂ©s, Gad Elmaleh n'a qu'une rĂ©ponse "Nous avons fait confiance Ă  la France". Et lorsque la jeune infirmiĂšre demande au gendarme en faction devant le Vel d'Hiv' pourquoi aucun d'entre eux n'a protestĂ© contre la hiĂ©rarchie, il n'a qu'une rĂ©ponse "Nous avons des ordres". Et justement, mes chers collĂšgues, vous qui ĂȘtes les vĂ©ritables spĂ©cialistes de la question, contrairement Ă  moi qui ne suis qu'une linguiste dotĂ©e d'une sensibilitĂ© littĂ©raire, vous qui avez passĂ© des Capes et des agrĂ©gations, ne pensez-vous pas que nous n'avons pas d'ordre Ă  recevoir pour emmener nos Ă©lĂšves voir ce film-lĂ , dont les hĂ©ros sont des enfants, justement? Devons-nous vraiment attendre que l'Education nationale nous ordonne de systĂ©matiser l'Ă©tude un peu pointue de ce moment de l'Histoire avant de profiter de la sortie d'un film aussi important en salles? Vous rĂąleriez encore, de toutes façons, comme lorsque vous rĂąlez lorsque l'on vous ordonne de lire la lettre de ce cher Guy MĂŽquet. J'en perds mon latin ; vous refusez de parler de la France qui rĂ©siste, ok. Mais pourquoi refusez-vous de parler de la France qui collabore? Quel est votre problĂšme avec la Shoah ? Je sais, vous ĂȘtes, presque, tous, de gauche et bien trop occupĂ©s Ă  casser du sucre sur les infidĂ©litĂ©s Ă©lysĂ©ennes ou sur les ratages du gouvernement, et ça vous embĂȘte, n'est-ce pas, que le petit hĂ©ritier du trĂŽne se soit fait circoncire, et puis ils sont partout, n'est-ce-pas ? Vous ĂȘtes si transparents, mes chers collĂšgues, Ă  la limite de la naĂŻvetĂ©, tellement prompts Ă  vous offusquer lorsque l'on veut lĂ©gifĂ©rer sur la burqa, acceptant sans broncher de manger hallal dans nos cantines, et en tĂȘte de toutes les manifs pro-palestiniennes, mais si frileux lorsqu'il s'agit de mettre en exergue les responsabilitĂ©s françaises dans l'extermination des juifs, car c'est bien des juifs qu'il s'agit, mes amis, pas des tsiganes, ni des homos, ni des malades mentaux, parce que je commence Ă  en avoir assez de cet argument-lĂ , aussi, resservi dans toutes les soirĂ©es! Oui, au Vel d'Hiv, il n'y avait que des juifs, des Weissberg, des Rozenberg, des Levy, des petits bonhommes hauts comme trois pommes et morts de soif des jours durant, de belles jeunes filles brunes, terrorisĂ©es et en larmes, et puis toutes ces mĂšres, qui furent ensuite, en une indicible barbarie, sĂ©parĂ©es de la chair de leur chair, en un Choix de Sophie dĂ©multipliĂ© par mille... Ce n'est qu'un film, cette Rafle-lĂ . Oui, juste un film. Mais ne croyez-vous pas que la proximitĂ© lacrymale, Ă©motionnelle, que ressentiront nos Ă©lĂšves devant ces images bouleversantes, devant la reconstitution lĂ©gĂšre d'un Paris d'abord serein et dĂ©tendu, malgrĂ© la prĂ©sence allemande, puis de plus en plus outragĂ©, martyrisĂ©, et devant les personnages attachants et merveilleusement interprĂ©tĂ©s, sera mille fois plus efficace que la projection de longues heures du film de Lanzmann, ou de Nuit et Brouillard? Car combien de fois ai-je entendu des ricanements sordides, oui, insupportablement dĂ©rangeants, du style "HĂ©, mate la meuf, elle est Ă  poil", en projetant des images de charniers Ă  des Ă©lĂšves? L'Histoire n'est rien, pour eux, qu'une pĂ©riode ancestrale, celle d'avant les ordis, d'avant les portables, une pĂ©riode tellement, tellement lointaine, que souvent elle ne les touche plus. Alors forcĂ©ment, on regarde Nuit et brouillard dans quelque collĂšge de banlieue, et puis Ă  la sortie on recommence Ă  traiter son pote de "sale youpin", parce que la connexion aux rĂ©alitĂ©s d'aujourd'hui ne s'est pas faite, parce que nos enfants ne savent, hĂ©las, plus vraiment faire la part du Bien et du Mal. Un film comme La Rafle, par contre, en construisant un univers de camaraderie, en insistant sur la possibilitĂ© qu'ont eu certains Justes d'aller au bout de leur dĂ©sobĂ©issance, et sur le courage de celui qui a su s'Ă©chapper, pour tĂ©moigner, peut, j'en suis absolument certaine, dĂ©clencher chez nos Ă©lĂšves un processus de rĂ©flexion bien plus important, bien plus solide. Vous qui ĂȘtes de gauche, dites-vous que c'est bien cela que nous recherchons, toujours leur dire qu'on a le choix, qu'on a toujours le choix, et que nous sommes lĂ  aussi pour leur apprendre le devoir d'insolence, le questionnement, la remise en question de l'ordre Ă©tabli. Alors oui, il y a la grippe H1N1, et les expulsions qui commenceront lundi, et la soirĂ©e des EnfoirĂ©s, et demain le petit peuple de gauche, en sarouels et en Ă©charpes palestiniennes, LibĂ© sous le bras, ira joyeusement voter contre le petit peuple de droite, poussant ses landaus, un Fig'Mag Ă  la main et la tarte aux pommes dominicale dans l'autre, mais ne fermons pas les yeux sur ce qui a Ă©tĂ© une pĂ©riode tout aussi noire que celle du colonialisme, ne vous dĂ©plaise. Vous avez emmenĂ© nos Ă©lĂšves voir IndigĂšnes , et puis Germinal. Ne les privez pas de La Rafle . "Il y a des lieux oĂč souffle l'Esprit, mais il y a un Esprit qui souffle en tous lieux", Madeleine DelbrĂȘl.
\n\n\n \n\n\ncomment expliquer la sĂ©paration Ă  nos chĂšres petites tĂȘtes blondes

Commentoccuper vos enfants aujourd’hui ? Je vous ai trouvĂ© une activitĂ© sympa qui leur permettra de rĂ©aliser une pĂąte Ă  modeler avec laquelle ils pourront ensuite se laver 🛁 . Je vous ai trouvĂ© une activitĂ© sympa qui leur permettra de rĂ©aliser une pĂąte Ă  modeler avec laquelle ils pourront ensuite se laver 🛁 .

PubliĂ© le 23 nov. 2019 Ă  1400Mis Ă  jour le 25 nov. 2019 Ă  909Le psychologue Olivier HoudĂ© teste dans les Ă©coles parisiennes les hypothĂšses formulĂ©es par son laboratoire de la Sorbonne sur les conflits cognitifs » et la capacitĂ© du cortex prĂ©frontal des enfants Ă  inhiber certains automatismes trompeurs
 Le neurobiologiste Jean-Philippe Lachaux et son programme Atole Attentif Ă  l'Ă©cole aident les Ă©lĂšves de la rĂ©gion lyonnaise Ă  rĂ©sister aux distractions et Ă  dĂ©velopper leur capacitĂ© d'attention
 Les chercheurs du rĂ©seau Grene Groupe de recherche en neurosciences et Ă©ducation nouent des partenariats avec plusieurs dizaines d'Ă©tablissements, publics comme privĂ©s, des environs d'Angers
MĂȘme si la France reste frileuse en comparaison d'autres pays comme le Canada ou ceux d'Europe du Nord, les expĂ©rimentations de neurosciences Ă  l'Ă©cole se sont multipliĂ©es depuis qu'il y a une dizaine d'annĂ©es CĂ©line Alvarez obtenait carte blanche de la part d'un certain Jean-Michel Blanquer, alors directeur gĂ©nĂ©ral de l'enseignement scolaire, pour tester de nouvelles mĂ©thodes d'apprentissage dans une Ă©cole maternelle de Gennevilliers - une expĂ©rience dont elle tirera la matiĂšre de son best-seller, Les Lois naturelles de l'enfant » Les ArĂšnes, 2016. Pour autant, et si Ă©tonnant que cela paraisse, aucune vue d'ensemble de ces expĂ©rimentations n'est possible, car il n'existe encore aucune structure centralisatrice pour superviser ces initiatives locales. Jusqu'Ă  ce mois-ci, il n'existait pas non plus de cadre Ă©thique auquel se rĂ©fĂ©rer afin de conduire ces expĂ©rimentations sur nos chĂšres petites tĂȘtes blondes dans les meilleures conditions possibles. Ce dernier problĂšme, au moins, vient d'ĂȘtre rĂ©solu, avec l'avis du ComitĂ© consultatif national d'Ă©thique CCNE publiĂ© le 7 novembre et intitulĂ© Cadre Ă©thique de l'expĂ©rimentation pĂ©dagogique en situation rĂ©elle ». Ce document, oĂč il est question de ce qui se pratique dĂ©jĂ , n'est remarquable ni par sa technicitĂ© ni par son originalitĂ©. Pour l'essentiel, ce que nous y Ă©crivons relĂšve du bon sens Ă©clairĂ©. Mais il est, je crois, utile, en ce qu'il vient combler un vide. La France devient ainsi, Ă  ma connaissance, le premier pays Ă  offrir de façon claire et synthĂ©tique une prĂ©sentation des diffĂ©rents problĂšmes et risques que peuvent poser les expĂ©rimentations rĂ©alisĂ©es dans les salles de classe, ainsi que des solutions prĂ©conisĂ©es pour les Ă©viter », estime l'un de ses deux rapporteurs, Lionel Naccache, chercheur en neurosciences cognitives Ă  l'Institut du cerveau et de la moelle Ă©piniĂšre et membre du controverse qui a suivi la crĂ©ation par Jean-Michel Blanquer, devenu ministre, d'un Conseil scientifique de l'Education nationale et la nomination Ă  sa tĂȘte du neuroscientifique Stanislas Dehaene a montrĂ© que le rapprochement de ces deux mondes, salles de classe et labos de neurosciences, restait, en France, un sujet sensible
 Il y a aujourd'hui une idĂ©ologie 'antiscience' dont il existe de nombreux exemples, comme la peur diffuse suscitĂ©e par les vaccins », fait remarquer l'autre rapporteur du texte du CCNE, le philosophe FrĂ©dĂ©ric Worms. Pour les deux membres du ComitĂ© national d'Ă©thique, cette peur diffuse qui consisterait Ă  s'imaginer nos enfants transformĂ©s en rats de laboratoire, la tĂȘte bardĂ©e d'Ă©lectrodes sous l'oeil d'inconnus en blouse blanche envahissant les salles de classe est tout aussi irrationnelle. S'il est nĂ©cessaire de conduire des expĂ©rimentations en situation rĂ©elle, c'est-Ă -dire Ă  l'Ă©cole, c'est prĂ©cisĂ©ment parce que les enfants ne sont pas assimilables Ă  des rats de laboratoire », pointe FrĂ©dĂ©ric Worms. Les expĂ©riences Ă  base d'imagerie cĂ©rĂ©brale se dĂ©roulent dans les laboratoires, pas dans les salles de classe, oĂč la quasi-totalitĂ© des Ă©tudes conduites relĂšvent de la psychologie cognitive expĂ©rimentale et reposent sur des mesures comportementales, comparables aux activitĂ©s demandĂ©es traditionnellement aux Ă©lĂšves », souligne de son cĂŽtĂ© Lionel ce que Ghandi a Ă  nous dire sur l'Ă©ducation d'aujourd'hui RĂ©volution culturelle »Cette crainte infondĂ©e une fois dissipĂ©e, il n'en reste pas moins que les chercheurs s'intĂ©ressant Ă  l'Ă©ducation et aux apprentissages, et dĂ©sireux de tester une hypothĂšse de travail en transplantant leur protocole expĂ©rimental dans une salle de classe, ne doivent pas le faire n'importe comment. Pour le CCNE, le modĂšle auquel doit se conformer toute expĂ©rimentation pĂ©dagogique est celui des essais cliniques, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d'un groupe contrĂŽle recevant un placebo Ă  la place du traitement testĂ© et la randomisation les patients inclus dans l'essai sont affectĂ©s alĂ©atoirement Ă  l'un ou l'autre groupe, ce qui permet de supprimer les biais statistiques. Pour les deux rapporteurs de l'avis, les expĂ©rimentations pĂ©dagogiques, pour ĂȘtre probantes et donc utiles, devraient s'approcher le plus possible de ce modĂšle. Notamment en constituant au sein de la classe un groupe contrĂŽle d'Ă©lĂšves, recevant l'Ă©quivalent pĂ©dagogique d'un placebo, ainsi que la Prix Nobel d'Ă©conomie Esther Duflo l'a fait dans le cadre de l'expĂ©rimentation pĂ©dagogique qu'elle a conduite en Inde, avec l'ONG Pratham, auprĂšs de mĂȘme ainsi dĂ©finie et si rigoureuse soit-elle, une expĂ©rimentation pĂ©dagogique n'est pas sans poser un certain nombre de problĂšmes Ă©thiques. Les deux auteurs de l'avis en ont dĂ©nombrĂ© huit, assortis de recommandations pour les Ă©viter lire ci-dessous. Si certaines semblent tomber sous le sens - favoriser une expĂ©rimentation la plus courte possible, sur le nombre d'Ă©lĂšves ou de classes le plus faible possible, recueillir l'accord Ă©clairĂ© des mineurs concernĂ©s en sus du consentement des parents qui a seul valeur lĂ©gale
 -, d'autres ont trait Ă  des risques plus gĂ©nĂ©raux que l'avis aborde frontalement. Ainsi de celui d'une mĂ©dicalisation de l'Ă©ducation » qui pourrait naĂźtre du rapprochement avec les essais cliniques. Cette analogie ne vaut que pour la mĂ©thode expĂ©rimentale. Les Ă©lĂšves ne sont pas des malades, ni les apprentissages des traitements ! » martĂšle Lionel autre de ces Ă©ventuelles dĂ©rives, peut-ĂȘtre la plus dĂ©licate Ă  traiter, tient Ă  ce que tout apprentissage prĂ©sente de multiples dimensions, dont certaines sont aisĂ©ment mesurables et d'autres moins. Ainsi de l'apprentissage de la lecture il est plus facile pour un expĂ©rimentateur de mesurer la vitesse Ă  laquelle un Ă©lĂšve transcode les graphĂšmes en phonĂšmes que d'Ă©valuer sa comprĂ©hension du texte, sa capacitĂ© Ă  en faire l'analyse ou Ă  le replacer dans une perspective critique. Cela introduit un biais, qui explique que la plupart des Ă©tudes privilĂ©gient la mesure de critĂšres de performance » au dĂ©triment d'autres, tout aussi importants mais difficilement quantifiables, tels que l'esprit critique, la crĂ©ativitĂ© ou la motivation. S'ils appellent de leurs voeux une rĂ©volution culturelle » de l'Education nationale, consistant Ă  intĂ©grer massivement et durablement les expĂ©rimentations pour affiner toujours davantage ses mĂ©thodes d'apprentissage, les deux auteurs de l'avis sont parfaitement conscients de ce danger. Et leur texte est, entre autres, destinĂ© Ă  le pointer du doigt pour leurs collĂšgues chercheurs, afin qu'ils l'aient, eux aussi, prĂ©sents Ă  l' recommandations pharesParmi les multiples recommandations faites dans l'avis du CCNE, deux se dĂ©tachent. La premiĂšre consiste Ă  crĂ©er un serveur qui viendrait centraliser et rendre publiques aprĂšs les avoir anonymisĂ©es toutes les donnĂ©es protocole expĂ©rimental, rĂ©sultats
 de toutes les expĂ©rimentations pĂ©dagogiques dĂ©jĂ  menĂ©es en salle de classe. AppliquĂ©es Ă  ce corpus, les mĂ©thodes d'analyse et de data mining permettraient d'Ă©viter le problĂšme liĂ© Ă  la survalorisation des critĂšres de performance au dĂ©triment d'autres critĂšres plus difficilement mesurables. Une autre recommandation phare s'inspire du rapprochement avec les essais cliniques. Avant qu'un essai clinique soit possible, il faut qu'il ait Ă©tĂ© validĂ©, sur le plan mĂ©thodologique et Ă©thique, par un comitĂ© de protection des personnes CPP associant mĂ©decins, chercheurs, pharmaciens, psychologues, travailleurs sociaux, reprĂ©sentants des associations de malades, etc. Le CCNE appelle ainsi, dans son avis, Ă  la crĂ©ation d'un comitĂ© opĂ©rationnel d'Ă©thique, sur le mĂȘme modĂšle que les CPP. L'une de ses tĂąches pourrait ĂȘtre de s'assurer que les expĂ©rimentateurs, dans leur protocole, ont pris en compte chacun des huit problĂšmes listĂ©s dans l'avis et y ont rĂ©pondu de façon du ComitĂ© national d'Ă©thiqueL'idĂ©e d'encadrer les expĂ©rimentations Ă  l'Ă©cole a Ă©tĂ© proposĂ©e par Lionel Naccache au printemps 2015, les auditions ayant eu lieu au cours du premier semestre les experts auditionnĂ©s figuraient la professeure d'Ă©conomie au Massachusetts Institute of Technology et future Prix Nobel Esther Duflo, l'ancien recteur d'acadĂ©mie et futur ministre de l'Education nationale Jean-Michel Blanquer, le professeur au CollĂšge de France et futur prĂ©sident du Conseil scientifique de l'Education nationale, Stanislas Dehaene
 Grained’islamophobe ou comment instruire nos chĂšres petites tĂȘtes blondes PubliĂ© le 16 janvier 2010 Tout le monde connaĂźt le CNED, n’est-ce pas ? Le CNED ou Centre national d’enseignement Ă  distance est un organisme qui dispense, comme son nom l’indique, un enseignement Ă  tous ceux qui, pour de bonnes raisons, ne peuvent Ă©tudier dans un
E-motion Ă©nergie en mouvement,qui lorsqu’elle n’a pas pu ĂȘtre accueillie un jour, reste tourmentĂ©e et bloquĂ©e dans le corps et l’ñme de Ă©motions ColĂšre, Joie, Tristesse et Peur sont naturelles et saines lorsqu’elles ont correctement exprimĂ©es et au bon endroit Nous retrouvons des comportements de colĂšre chez les animaux lorsqu’il s’agit de dĂ©fendre son territoire et dĂ©fendre sa vie et celle du clan. La tristesse quant Ă  elle nous est utile pour faire le deuil, se sĂ©parer de l’objet ou de la personne aimĂ©e, et nous permettre de passer Ă  autre chose. La peur quant Ă  elle peut nous sauver la Vie, avec fuir ou se tĂ©taniser, rĂ©flexe archaĂŻque de survie. La Joie est notre Ă©tat d’ĂȘtre naturel lorsque nous sommes en harmonie quelle autre Ă©motion nous empĂȘche d’y accĂ©der ?Maintenant que nous ne sommes plus que des animaux, mais des ĂȘtres humains bien-pensants, le souci commence lĂ  avec le mental et le conditionnement ce qu’il conviens de montrer dans notre sociĂ©tĂ© bien-pensante, de faire ou ne pas faire pour ĂȘtre accepter ou exclus si je ne m’y conforme pas. En rĂ©sumĂ© comment rĂ©agir au stimulus avec la bonne conditionnement commence tĂŽt dans nos Vie avec les attentes conscientes et inconscientes de nos parents, pĂšre et mĂšre, de nos proches, amis et sociĂ©tĂ© dans laquelle nous vivons. Et pour recevoir l’Amour et l’acceptation dont nous avons tous besoin pour se dĂ©velopper d’abord Ă©tant enfants et combler notre besoin d’appartenance une fois adulte
Nous allons mourir a notre partie libre et sauvage pour s’adapter au systĂšme en place question de survie. Et d’ĂȘtre parfaitement adaptĂ© Ă  un systĂšme malade, c’est la crise assurĂ©e
 Voyons d’un peu plus prĂšs quelques mĂ©canismes du conditionnement Pour cela il convient de dĂ©finir un peu mieux ce que nous sommes Nous sommes faits de chair et d’os, nous avons un corps, et nous ne sommes pas que cela. Ce corps est habitĂ© par une conscience, certains appellerons cela l’ñme, l’énergie de Vie, ou le Divin en nous
 Moi je parlerai de conscience et vous pouvez remplacer ce mot par celui de votre se trouve que la conscience du nourrisson, est beaucoup plus grande que son petit corps Ă  la naissance et aprĂšs
il est sensible Ă  TOUT ce qui se passe chez sa maman il n’a pas encore de conscience individuelle et se fond dans la mĂšre et dans son environnement proche appartement, maison, ambiance et atmosphĂšre du lieu. Il sait parce qu’il ressent profondĂ©ment son environnement et fait corps avec plus tard avec le langage vient une premiĂšre contraction de la conscience Ă  force de nommer, ceci est une chaise, cela une table, et ce corps c’est toi 
 et se l’entendre rĂ©pĂ©ter des centaines de fois. Alors la conscience commence Ă  se densifier pour n’habiter que ce petit corps d’ĂȘtre humain c’est pas confortable pour une Ăąme qui viens d’un monde d’instantanĂ©itĂ© ou le temps et l’espace n’existent pas comme nous le reprĂ©sentons.Puis petit enfant deviendra grand et connaĂźtra inĂ©vitablement la souffrance, et fera l’expĂ©rience du rejet, de l’abandon, trahison, impuissance, incomprĂ©hension, humiliation
 les blessures du cƓur, qui feront flĂ©trir notre Ăąme Ă  nouveau
 Et par question de survie, cette conscience choisira de ne plus ressentir, car cela fait trop mal et viendra se rĂ©fugier dans la tĂȘte avec un mental fort et solide. Ainsi armĂ© de bouclier, cĂŽte de maille et casque, c’est pratique pour ne plus ressentir les coups, les douleurs et les bleus de l’ñme de ce bas monde
tout du moins en pĂ©riode de stress
 mais quand cela fait des annĂ©es voir des dĂ©cennies que j’ai coupĂ© avec le ressenti, un jour je me rĂ©veil et me rends compte que la Vie est fade , car si je me coupe d’une Ă©motion car jugĂ©e inacceptable, douloureuse ou mĂȘme nĂ©gative, je me coupe de toutes les Ă©motions
 La Joie, l’Amour et la Vie. Suis-je devenu un mort vivant ? Pourrait-on se demander ce sujet j’aime la lecture du Chevalier Ă  l’armure rouillĂ©e
 et je la recommande, ainsi que les 4 accords ToltĂšques de Don Miguel ce n’est pas fini, car pour ĂȘtre bien Ă©duquĂ© petit enfant ira Ă  l’école. Et qu’apprend-t-on Ă  l’école obligation du masculin, interdiction du fĂ©minin. Je m’explique, pour rĂ©ussir dans la vie, il me faut faire des hautes Ă©tudes cerveau gauche masculin, ĂȘtre le meilleur compĂ©tition, masculin pour savoir gĂ©rer, planifier, organiser, et espĂ©rer avoir un gros compte en banque rĂ©fĂ©rence externe, donc masculin, avoir des gros muscles et une grosse voiture/maison etc
Oui ce n’est pas Ă  cette Ă©cole que j’ai appris Ă  prendre le temps, prendre soin, recevoir, se ressourcer, se rĂ©gĂ©nĂ©rer, ĂȘtre crĂ©atif, recevoir, intuiter, le fĂ©minin de l’ĂȘtre quoi. ConsĂ©quences je sors de mes Ă©tudes avec une conscience focalisĂ©e dans le cerveau gauche masculin, et un mental fort qui s’oppose Ă  ressentir. Et voilĂ  comment ma conscience habite une toute petite partie de mon ĂȘtre
 quel gĂąchis !Et pourtant tous les grands sages de cette planĂšte vous le diront, nous avons tous ces deux parties en nous, masculin et fĂ©minin, yin et yang, qui doivent se dĂ©velopper et cohabiter en harmonie, dans mon corps et mon ĂȘtre sexuĂ© et polarisĂ©. C’est l’union mystique, l’harmonie en racket Ă©motionnelCela une consĂ©quence Ă  une trop grande adaptation Ă  notre milieu et systĂšme familial et un rapide tour d’horizon des messages cachĂ©s de notre Ă©ducation De nos jours, les petits garçons sont Ă©levĂ©s pour ne pas ressentir, ĂȘtre fort et courageux
sous-entendu mais non ça fait pas mal » quand il vient de tomber et qu’il se relĂšve le genou en sang ; ne demande pas de l’aide, sois fort, dĂ©pĂȘches toi, sois parfait, ou mĂȘme n’existe pas ! Voici les message conscients et inconscients appelĂ©s injonctions que nous transmettons Ă  nos chĂšres tĂȘtes blondes, et tout cela sous le couvert de leur bien ĂȘtre, bien entendu ! L’enfer est pavĂ© de bonnes d’avoir peur pour ne pas ĂȘtre taxĂ© de poule mouillĂ©e ou de tapette ou de se sentir triste devant la bande de copains du collĂšge et du lycĂ©e. La colĂšre oui et l’agressivitĂ© parfois petites filles quant Ă  elles reçoivent des messages type tu n’as pas le droit d’ĂȘtre en colĂšre, ranges-moi vite ce vilain caprice ! C’est plus tolĂ©rĂ© qu’elle puisse avoir peur ou ĂȘtre triste
Les hommes doivent avoir un gros compte en banque, de gros muscles, et une belle voiture, ĂȘtre fort, sympathiques et courageux
 les femmes se plier aux canons de beautĂ© Ă  force d’esthĂ©ticiennes, coiffeur, beaux vĂȘtements, ĂȘtre au service, voir se sacrifier
ou pire, mettre les bouchĂ©es doubles pour devenir comme un homme dans cette sociĂ©tĂ© patriarcale, et par lĂ  mĂȘme renier son coup avec une adaptation parfaite Ă  notre milieu familiale et sociĂ©tale pas toujours sain d’ailleurs, le racket Ă©motionnel a toute la place pour faire son chemin
et voilĂ  pourquoi certaines personnes pleurent lorsqu’elles sont en colĂšre Ă©motion non acceptable, acceptĂ©e dans le systĂšme de rĂ©fĂ©rence et donc refoulĂ©e, et d’autres se mettent en colĂšre au lieu d’ĂȘtre triste quelle tĂȘte faisait votre ex, lors de votre sĂ©paration ?.Donc se permettre de remettre chaque Ă©motion Ă  sa juste place et considĂ©rer sa juste valeur est important sur le chemin de Vie pour une Vie plein et radieuse. Car ces Ă©motions nous rendent vivants, c’est de l’énergie de Vie qui cherche Ă  ĂȘtre en mouvement. ConsidĂ©rer vos Ă©motions enfouis comme autant de trĂ©sors et de potentiel de Vie en vous dont vous pourrez bĂ©nĂ©ficier bientĂŽt. Car se sentir ĂȘtre envie, c’est bien se permettre de ressentir et se laisser traverser librement par tout ce que la Vie nous amĂšne Ă  vivre, pour se sentir vivant La Joie, L’Amour, la Tristesse, la Peur et la Ă  nous de retrouver le chemin de l’école de la Vie, pour nous rĂ©apprendre Ă  vivre ce chemin s’appelle un pĂšlerinage, c’est le but de tous les pĂšlerinages du monde, et le plus long mesure 
. 50cm !Il s’agit de nous permettre de redescendre de la tĂȘte vers le CƓur
 et retrouver son ressenti, agrĂ©able et dĂ©sagrĂ©able
laisser passer ce qui Ă  Ă©tĂ© nouĂ© avec douceur et bienveillance pour intensifier la Joie, l’Amour et la Vie qui sont nos Ă©tats d’ĂȘtre pourquoi aprĂšs avoir profitĂ© longtemps des bienfaits de la thĂ©rapie Ă©motionnelle et libĂ©ratrice, je vous propose Ă  prĂ©sent de partager ces bienfaits lors de sĂ©ance individuelles, ou lors de mes de sĂ©ances de thĂ©rapie, dans un cadre de sĂ©curitĂ© et de bienveillance, vous aurez la possibilitĂ© d’aller Ă  la rencontre de vos Ă©motions De faire un pas vers elles, les Ă©couter, les reconnaĂźtre et peut-ĂȘtre les laisser faire leur chemin de libĂ©ration
pour laisser plus de place Ă  la Vie, l’Amour et la qu’une sociĂ©tĂ© sans violence, un corps sans maladie, un esprit sans confusion, un intellect sans inhibition, une mĂ©moire libre de traumas et une Ăąme sans chagrin devrait ĂȘtre le droit de naissance de chaque Être humain sur cette Terre. Les Ă©motions dont nous ne prenons pas soin,prendrons soin de nous un jour. » Thomas d’AnsebourgVous souhaitez passer Ă  la pratique ?Pour toute demande d’information ou de rendez-vous, merci de me contacter par tĂ©lĂ©phone 06 24 41 01 serai ravi de rĂ©pondre Ă  vos questions. Karl

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Quand elle atteindra 50 000 signatures, cette pĂ©tition deviendra l'une des plus signĂ©es sur MesOpinions ! L’effondrement de notre systĂšme de santĂ© s’ l’expliquer, les autoritĂ©s Ă©voquent l’importance de faire des Ă©conomies au profit de ceux qui investissent. SidĂ©ration !... Ni les soignants, ni les patients ne semblent capables de dĂ©jouer l'arbitraire de ce qui n’est pourtant qu’un choix Ă©conomique parmi d’autres avons oubliĂ© ce qui nous a permis au siĂšcle dernier de construire le meilleur systĂšme de santĂ© au monde classement de l’Organisation Mondiale de la SantĂ© en 2000 !Nous avons oubliĂ© qu’en 1946, lorsque nos anciennes et anciens ont bĂąti le RĂ©gime GĂ©nĂ©ral de la SĂ©curitĂ© Sociale, ils ont pris le contre-pied idĂ©ologique d’une Ă©conomie ayant pour finalitĂ© l’enrichissement de quelques-uns, pour construire une vĂ©ritable production de santĂ© affranchie de la ponction des avons socialisĂ© l’argent produit Ă  travers nos cotisations. Cette socialisation, directement issue de la valeur primaire, a rĂ©futĂ© avec brio l’idĂ©ologie des prĂ©lĂšvements nĂ©cessaires pour rĂ©compenser ceux qui prennent des risques en finançant ».La concentration de l’argent Ă  trĂšs haut niveau et la gestion des caisses par les travailleurs eux-mĂȘmes l’Etat n’avait pas le droit de s’en mĂȘler Ă  l’époque, a permis de dĂ©velopper la production Ă  un degrĂ© jamais atteint auparavant construction d’un hĂŽpital par semaine dans les annĂ©es 60 et 70.Nous n’avions pas Ă  quĂ©mander des moyens Ă  des puissants qui ont progressivement pris le contrĂŽle des caisses. Nous produisions et gĂ©rions nous-mĂȘmes la valeur qui alimentait sans manquements notre systĂšme de santĂ©. Nous maĂźtrisions notre Ă©conomie de la des libĂ©raux Ă©conomiques ont pris le pouvoir et transformĂ© notre production de santĂ© par ceux qui travaillent, en exploitation de valeur pour des actionnaires et des rentiers ceux qui profitent. Ils ont nommĂ© dĂ©penses » la production de soins ou la construction des CHU ou des URGENCES ; et recettes » l’exploitation d’actes mĂ©dicaux et la suppression de lits
Nous voyons que les profiteurs ne font que prendre, supprimer et dĂ©truire et nous comprenons que c’est la raison premiĂšre pour laquelle notre systĂšme de santĂ© part Ă  vau-l'eau ! Pourtant nous les laissons faire comme s'il s'agissait d'un mal nĂ©cessaire
Remettons nos cerveaux Ă  l’endroit !Quand allons-nous comprendre que nous devons cesser de rĂ©clamer de l’argent Ă  des dirigeants malveillants, pour enfin reprendre la main en organisant la hausse des cotisations et la gestion des caisses ?Nous devons renouer avec la pratique Ă©conomique Ă©minemment subversive de nos anciennes et anciens pour reprendre le contrĂŽle de notre systĂšme de santĂ© !C'est nous les travailleurs qui produisons la valeur, nous qui construisons l'Ă©conomie et la sociĂ©tĂ© qui en dĂ©coule !Nous devons proclamer l'interdiction des dividendes, des intĂ©rĂȘts, et des rentes dans leur ensemble !Nous devons reconquĂ©rir le pouvoir sur notre travail, sur les rĂšgles de notre sociĂ©tĂ© et sur nos vies !
DĂšsl'Ăąge de sept ans, exercices d'introspection et de dĂ©tente font sens pour l'Ă©quilibre psychologique de nos chĂšres petites tĂȘtes blondes. Cette dĂ©tente passe Ă©galement par la culture.
Le psychologue spĂ©cialiste de la petite enfance Stephan Valentin, auteur de Quand mon bĂ©bĂ© me parle», sort ces jours, toujours aux Ă©ditions Jouvence, La fessĂ©e, pour ou contre?».Il a rĂ©pondu Ă  vos question Tout cela doit-il ĂȘtre dosĂ© en fonction de l'Ăąge de l'enfant? Peut on parler de pĂ©riode de dressage» qui succĂšdent Ă  des pĂ©riodes d'Ă©ducation? d'apprentissage?feekepasserOn ne dresse pas son enfant, mais on lui apprend les rĂšgles de la vie en communautĂ©. Posez-lui des limites cohĂ©rentes. Cela est important Ă  tous les Ăąges, mĂȘme quand on est ado. Ma petite fille de 18 mois nous fait crises sur crises. Elle se roule par terre en claquant des pieds et se cogne volontairement la tĂȘte par terre. Quelle attitude avoir?SebElle est en pleine crise d'opposition. Dans mon livre, il y a tout un chapitre Ă  ce parler de fessĂ©es, une claque sur les fesses peut ĂȘtre de temps en temps remettre d'aplomb un gamin trop turbulent surtout quand il se met en danger ou met en danger les autres non?ChristineessonneNon, pas vraiment. C'est juste le signe que le parent ne sait plus que faire
A vingt-et-un ans, je suis ravie de pouvoir dire que j'ai Ă©tĂ© bien Ă©levĂ©e. Mes parents nous ont trĂšs rapidement, Ă  mes frĂšres, ma soeur et moi, Ă  nous conduire correctement et Ă  ne surtout jamais faire de caprice. La seule tentative historique a abouti Ă  une fessĂ©e et il n'y a jamais eu de rĂ©cidive. En ce qui me concerne, j'en ai reçue une. Et, mĂȘme si je suis Ă  peu prĂšs certaine qu'elle n'Ă©tait pas mĂ©ritĂ©e forcĂ©ment, je n'en suis pas morte. DĂšs le moment oĂč les parents ne sont pas dĂ©missionnaires, il ne devrait pas avoir de problĂšmes d'autoritĂ©. Cependant, une bonne fessĂ©e de temps Ă  autre ne peut pas faire de mal. On parle d'humiliation? Vous croyez que dans leur vie future les enfants ne seront jamais confrontĂ©s Ă  l'humiliation? Il vaut mieux qu'ils apprennent tĂŽt, et dans la sphĂšre privĂ©e, que de tomber de haut en alors fesser les enfants pour les prĂ©parer aux situations humiliantes dans leur vie future?J'ai Ă©tĂ© Ă©levĂ©e Ă  coups de fessĂ©es. Pas battue, mais j'ai reçu des fessĂ©es lorsqu'il le fallait. Des enfants abusant trop de la patience et de la santĂ© de leurs parents Ă  force de les user avec leurs caprices ont besoin d'un bref retour Ă  la rĂ©alitĂ©. Evidemment, elle ne doit pas ĂȘtre automatique, mais utilisĂ©e Ă  bon escient. Ma mĂšre me fessait lorsqu'elle Ă©tait Ă  bout et trĂšs fatiguĂ©e, chose que je lui reproche. Ce que je ne lui reproche pas ce sont les fessĂ©es mĂ©ritĂ©es, lorsque j'Ă©tais odieuse en tant qu'enfant, comme beaucoup le enfant ne mĂ©rite pas de coups, de fessĂ©e, de gifle ou autre punition corporelle ou morale. Il ne cherche jamais la fessĂ©e. Il ne cherche pas la violence. Il cherche juste le "NON" parental , mais en paroles. Ce qui est important c'est de s'excuser auprĂšs de son enfant . Il a le droit d'entendre que le parent a choisi une mauvaise dit-on que chaque enfant est diffĂ©rent et nĂ©cessite un traitement diffĂ©renciĂ© mais dans le mĂȘme souffle on dit que la fessĂ©e n'est pour aucun enfant? Ne risque-t-on pas aussi de pousser les parents dans les excĂšs de l'interdit? si c'est "interdit" et qu'on le fait quand mĂȘme autant en mettre une bonne. Nous avons 3 enfants, nous ne les gĂ©rons pas de la mĂȘme maniĂšre et nous ne portons la main sur eux qu' n'y pas un excĂšs d'interdit si on ne fesse pas son fessĂ©e ne peut-elle pas ĂȘtre un moyen immĂ©diat pour dissuader l'enfant de se mettre en danger bien plus grave voire mortel traverser la route en courant par exemple lĂ  oĂč on n'est pas sĂ»r que des explications soient assez fortes ou comprises?ReizzDans cette situation prĂ©cise, on parle de fessĂ©e rĂ©actionnelle». Le parent est dĂ©bordĂ© et il y a un trop plein d'Ă©motion et la fessĂ©e lui Ă©chappe. Par peur. Parce que l'enfant a par exemple traversĂ© tout seul une rue. Je parle de ce cas dans mon livre. La fessĂ©e n'apprend rien Ă  l'enfant, par contre si vous le prenez dans les bras, vous le serrez contre vous — dĂ©jĂ  vous arrivez mieux Ă  vous calmer. Puis vous lui parlez en disant, tu m'as fait tellement peur, ne refais plus jamais ça, tu peux te faire mal » Ainsi vous gĂ©rez mieux votre angoisse et votre pensez vous des douches froides ou tiĂšdes suite Ă  des colĂšres que l'on ne peut calmer?papouJe pense que la meilleure façon de calmer un enfant en colĂšre c'est de le mettre Ă  l'Ă©cart dans sa chambre. Forcer l'enfant sous la douche, ce choc sous l'eau froide cela fait trĂšs militaire
 Cela est vivement Ă  dĂ©conseiller! Cela traumatise l'enfant!On dit souvent qu'on reproduit sur ses enfants le schĂ©ma subi dans sa jeunesse. Si j'ai pris moult fessĂ©es, est-ce la garantie que je m'en prendrai au popotin de mes enfants?ShaabaaZIl y a un risque, mais pas une certitude; mais dĂ©jĂ  votre question montre que vous en ĂȘtes conscient. C'est le premier pas pour ne pas reproduire ce qu'on a vĂ©cu en tant qu'enfant. Dans mon livre, je parle aussi de la prĂ©vention de la moi c'est explication, 1-2-3 fessĂ©e, et ça marche, mais chaque enfant est diffĂ©rent, pour un l'explication marchera, pour l'autre il suffira d'expliquer et compter 1. SĂ©rieusement, avez-vous des enfants? Pour moi trop de certitudes comme ça, ça veut dire que soit vous avez vu un Ă©chantillon comportemental de chaque enfants, soit vous avez votre doctrine et c'est ce que vous appliquer sans Ă©couter les autres...ServalitoSi vous lisez mon livre, vous verrai que j'Ă©coute beaucoup les parents. J'entends leur problĂšmes, leurs souffrance et aussi leur difficultĂ© d'Ă©lever leur enfant. AprĂšs tout, ĂȘtre parent, c'est une remise en question constante. Mais justement, je n'Ă©cris pas pour culpabiliser les parents, mais pour leur proposer des solution pour Ă©viter la fessĂ©e. AprĂšs tout, ce n'est pas agrĂ©able pour un parent de se dire, " j'ai frappĂ© mon enfant, que j'aime plus que tout." Je n'ai qu'une certitude La fessĂ©e n'est pas une punition fessĂ©e? qui donne encore la fessĂ©e? De nos jours, pas mal de parents, s'ils emploient des chĂątiments corporels», ont plutĂŽt la gifle facile, pas la fessĂ©e. Voire mĂȘme les insultes. On en voit sans cesse des parents qui traitent leurs enfants de cons» ou d'abrutis». Ça, c'est ce qu'il se passe le plus souvent aujourd'hui et c'est bien plus grave que la fessĂ©e d' y a deux forme de chĂątiments le chĂątiment corporel oĂč on marque le corps du fautif. Il y a aussi le chĂątiment moral oĂč on place le fautif dans une situation humiliante. En l'insultant par exemple. Les deux formes de chĂątiments sont Ă  Ă©viter. Les deux laissent des traces. Le premier sur le corps, le deuxiĂšme sur le ne suis pas du tout d'accord avec les arguments de Mr Valentin, je donne la fessĂ©e Ă  mes enfants 3 ans et 6 ans aprĂšs avoir tout essayĂ© avant pour leur faire comprendre ce qu'ils ont le droit de faire ou non. Mon Ă©pouse pratique uniquement les "explications" "les gros yeux" et tous les autres moyens pour se faire obĂ©ir de nos chĂšres tĂȘtes blondes et rien y fait. Pour moi c'est vraiment la solution qui rĂšgle le problĂšme le plus rapidement, mais c'est aussi la plus dure pour eux et nous. Le seul fait d'Ă©voquer une fessĂ©e permet aujourd'hui de se faire obĂ©ir. Si on devait arrĂȘter de donner des fessĂ©s, on ne pourrait plus se faire obĂ©ir, les gens qui disent le contraire n'ont pas d'enfant!JOHNJOHNLa fessĂ©e agit sur les mĂ©canismes de la peur. L'enfant est plus dans la crainte que dans l'apprentissage des rĂšgles. La fessĂ©e n'est donc en aucun cas une punition Ă©ducative. La preuve demandez autour de vous qui a Ă©tĂ© fessĂ©. On gĂ©nĂ©ral, ces personnes se souviennent encore de la fessĂ©e, mais plus du "pourquoi". Donc, elle n'agit pas sur l'apprentissage de l'enfant. Et elle n'aide pas Ă  l'enfant Ă  s'autonomiser et Ă  bĂ©bĂ© de 15 mois refuse de manger - ou en tout cas manifeste son mĂ©contentement et s'arrĂȘte aprĂšs quelques bouchĂ©es - lorsque mon Ă©pouse ou moi-mĂȘme se chargeons de le nourrir. Mais quand c'est ma nounou qui s'en occupe, elle mange tout... Comment expliquer ce comportement? Pour dĂ©tail, elle a passĂ© 2 mois chez sa grand-mĂšre, sĂ©parĂ©e de nous, et Ă  eu un reflux gastrique qui l'a handicapĂ©e durant ses premiers mois...BruXLe reflux gastrique est une sensation terrible pour le bĂ©bĂ©. Il se tortille, crie fort et on n'arrive pas Ă  le calmer. Probablement, votre bĂ©bĂ© a ressenti le repas comme un moment dĂ©sagrĂ©able. Donc, il faut lui accorder du temps pendant le repas. Ne pas lui donner Ă  manger trop vite. Mais je pense aussi que votre bĂ©bĂ© vous reproche Ă  sa maniĂšre votre absence pendant ces deux mois. Parlez-lui en. Expliquez-lui tous les deux pourquoi vous ne pouviez pas ĂȘtre avec votre fille. Qu'elle vous a beaucoup manquĂ©, que vous avez beaucoup pensĂ© Ă  elle. Un enfant doit entendre pourquoi ses parents ne pouvaient pas ĂȘtre lĂ . Pendant le repas, respectez son refus. Par exemple, donnez-lui la cuillĂšre. Elle veut peut-ĂȘtre manger toute seule. Surtout, ne prenez pas ce refus comme un rejet de votre amour pour elle. Dites-vous qu'elle est en ce moment en colĂšre contre vous, c'est son droit. Essayez de dĂ©dramatiser la situation du repas. Mangez en mĂȘme temps qu' semblerait que les gĂ©nĂ©rations qui ont grandi avec cette Ă©ducation plus laxiste soient aujourd'hui globalement moins respectueuses. Tout d'abord, est-ce une impression et deuxiĂšmement peut-on Ă©tablir une corrĂ©lation entre cette baisse de respect et l'Ă©ducation reçue?fred3Ce n'est pas parce qu'une gĂ©nĂ©ration n'a pas Ă©tĂ© fessĂ©e ou pas assez» qu'elle devient moins respectueuse. Cela serait rĂ©ducteur. Il y a beaucoup de facteurs pour le comportement d'une certaine jeunesse. Probablement le facteur le plus important est les jeunes se sentent dĂ©laissĂ©s. En faisant des bĂȘtises, ils attirent notre attention sur j'ai deux questions prĂ©cises Ă  poser aux partisans de la fessĂ©e et, donc, accessoirement aussi, Ă  Monsieur Stephan Valentin1. La fessĂ©e est-elle indispensable pour Ă©lever correctement un enfant sans ĂȘtre laxiste2. La fessĂ©e est-elle inoffensive pour l' Ă  ces deux questions je rĂ©ponds vigoureusement Ă©levĂ© 4 enfants le plus jeune a 22 ans sans jamais lever la main sur eux et je peux vous assurer que je me suis fait respecter. Le respect s'enseigne par l'exemple. Par la violence et l'humiliation on n'enseigne que la violence et un dĂ©samour» de trouve que de dĂ©cider dĂ©libĂ©rĂ©ment de faire mal Ă  un enfant est une chose monstrueuse. De plus, pour un enfant, la fessĂ©e a une connotation malsaine par sa proximitĂ© avec les zones Ă©rogĂšnes de celui-ci et le trouble qu'elle peut Ă©ventuellement provoquer chez celui qui la donne puis, plus tard, chez celui qui l'a reçue.Menfoufinalement1. Une fessĂ©e ne devrait pas avoir sa place dans l'Ă©ducation de l'enfant. Il y a d'autres moyens pour Ă©duquer son enfant comme en faisant des contrats, le mettant dans sa chambre ou encore en lui disant "NON". C'est quand les parents laissent toujours faire, qu'ils ne disent pas "NON" ou qu'ils envoient des messages pas clairs que l'enfant ne sait plus comment se comporter La fessĂ©e est une forme de violence. On frappe son enfant. Et vous avez raison, la fessĂ©e comporte un danger sexuel. On ne sait pas encore calculer la probabilitĂ© d'un dĂ©sordre psycho-sexuel, mais mĂȘme un risque faible, ne justifierait-il pas l'abandon de la fessĂ©e?Bonjour, je suis psychologue en maternitĂ©, je voulais avoir votre avis concernant plusieurs concernant les pleurs de bĂ©bĂ©... pensez-vous qu'il faut laisser pleurer ou chouiner bĂ©bĂ© quelques instants si ce n'est pas pour la tĂ©tĂ©, le changement de couches... ou accourir au moindre cris et pleurs qui n'expriment pas nĂ©cessairement un besoin?- Pour l'allaitement... pensez-vous que les mamans doivent fait tĂ©ter bĂ©bĂ© aussi souvent qu'il le rĂ©clame certaines mamans ont bĂ©bĂ© au sein toute la journĂ©e une heure entre les tĂ©tĂ©s mĂȘme si le besoin n'est pas nourricier mais davantage pour le plaisir?- les enfants ayant des terreurs nocturnes 2 ANS-3ans, je pense Ă  un enfant qui se rĂ©veille toutes les nuits Ă  2H et fait une rĂ©elle crise de pleurs et qui ne se calment que lorsqu'il sont dans le lit parental.. qu'en pensez-vous? Ă  quoi sont dues ces terreurs?? est-il indispensable de prendre l'enfant dans le lit malgrĂ© que le rituel du coucher est Ă©tĂ© respectĂ©...psychomat1. Tout dĂ©pend bien sĂ»r de l'Ăąge du bĂ©bĂ© et des circonstances. Mais dans les premiĂšres semaines, je conseille de calmer l'enfant rapidement. Il fera ainsi l'expĂ©rience que maman ou papa l'entendent, qu'il arrive Ă  agir sur son environnement et qu'il existe. En apportant cette rĂ©ponse positive Ă  ses cris, donc en venant vers lui, le bĂ©bĂ© prendra confiance en lui et il ne se sent pas seul. Mais il y a aussi des moments oĂč il faut laisser Ă  l'enfant la possibilitĂ© de se calmer tout seul. Dans la nuit par exemple. On peut attendre quelques instants avant d'y aller. Peut-ĂȘtre il s'endort tout A cet Ăąge-lĂ , les terreurs nocturnes sont trĂšs frĂ©quentes. Souvent, les enfants n'arrivent pas Ă  "digĂ©rer" ce qu'ils ont vĂ©cu la journĂ©e. Mais en gĂ©nĂ©ral, des angoisses se fixent Ă  cette Ăąge-lĂ . Donc, je pense que si l'enfant n'arrive qu'Ă  se calmer une fois dans le lit parental, alors c'est une bonne solution. Mais les parents doivent signaler que c'est une exception. "Tu peux venir, mais seulement parce que tu as fais un mauvais rĂȘve". il ne faut pas laisser dormir l'enfant au milieu, entre les parents. A cet Ăąge-lĂ , ils aiment bien aller au lit parental pour sĂ©parer les parents, pour Ă©viter qu'ils "s'aiment" Complexe d'Oedipe.Que prĂ©conisez-vous pour le parent qui n'est pas capable de correctement phraser pour affirmer l'autoritĂ© nĂ©cessaire pour structurer et donc cadrer un enfant, bref pour les milieux trĂšs populaires oĂč l'enfant peut ĂȘtre Ă  la fois trĂšs aimĂ© mais Ă©galement rĂ©guliĂšrement fessĂ©?FranL'autoritĂ© parentale se construit. Bien sĂ»r, il faut un peu de temps, mais on n'affirme en aucun cas son autoritĂ© parentale en donnant en fessĂ©e. En fait, la fessĂ©e est toujours un signe de l'Ă©chec de l'autoritĂ© parentale. Le parent n'a pas rĂ©ussi Ă  gĂ©rer la situation autrement qu'en frappant son enfant. L'enfant ressent cet Ă©chec et ne respecte pas le parent pour son comportement. C'est en posant des limites que l'on retrouve ou qu'on construit son autoritĂ© pour ou contre la fessĂ©e est Ă  mon sens bien rĂ©ducteur. Il y a une multitude de façon de donner une fessĂ©e, comme une multitude de messages qui peuvent l'accompagner. Qu'en pensez-vous?HappySmileyLe message de la fessĂ©e est toujours le mĂȘme Le parent n'arrive plus Ă  gĂ©rer la situation et surtout son enfant. Il est dĂ©bordĂ© et le trop plein d'Ă©motion mĂšne Ă  la fessĂ©e. Une fessĂ©e reste une fessĂ©e. Une fessĂ©e "douce", ou donner avec la main, le bĂąton etc. Par contre, ne pas donner la fessĂ©e et gĂ©rer son enfant par la parole est un signe d'un parent responsable qui respecte son enfant. Le message de la fessĂ©e est toujours suis passĂ©e devant le JAF juge aux affaires familiales avec mon futur-ex-mari qui a mis sur le tapis les fessĂ©es donnĂ©es Ă  la maison surtout pour mon dernier vu que ses soeurs sont plus grandes et n'en reçoivent plus. La juge m'a accusĂ© d'avoir la main lĂ©gĂšre et que c'Ă©tait une rĂ©action de violence logique quand on connaĂźt mon histoire personnelle j'ai Ă©tĂ© victime d'abus sexuels dans mon enfance, pas par mes propres parent. Evidemment, les fessĂ©es n'ont pas Ă©tĂ© donnĂ©es exclusivement par moi mais Ă©tant donnĂ© mon histoire, j'ai dĂ©jĂ  Ă©tĂ© jugĂ©e en quelques secondes par le JAF. Je prĂ©cise qu'aucune trace de violence physique et/ou psychologique n'ont Ă©tĂ© dĂ©tectĂ© sur mes enfants et que j'ai pu parler de ces Ă©pisodes de fessĂ©es avec eux sans qu'ils soient choquĂ©s. La question est suis-je une femme violente, au point de taper» mes enfants et Ă  ce qu'un juge puisse prendre une dĂ©cision sur le sujet sans avoir vu les enfants?MargueriteQuand on a Ă©tĂ© battu ou abusĂ© en tant qu'enfant, une fois adulte, mĂȘme si on ne voudrait pas reproduire la violence subie sur ses propres enfants, il y a un risque certain de reproduire justement cette violence vĂ©cue. Surtout dans des situations oĂč on se sent complĂštement dĂ©bordĂ©. Il est trĂšs important d'en parler avec un spĂ©cialiste, s'interroger pour Ă©viter de frapper ses enfants. La question n'est pas suis-je une femme violente» mais comment faire pour ne pas reproduire la violence que j'ai vĂ©cue?»Dans mon foyer, nous apprenons Ă  nos enfants Ă  respecter l'autre, par la parole et par les gestes. Par la parole, j'entends, notamment, en interdisant les gros mots et en n'insultant pas Ă  leur Ăąge, presque trois ans et quatre ans passĂ©s, ils ne connaissent pas encore l'insulte mais ils savent dire des choses "mĂ©chantes" Ă  escient. Pour ce qui concerne les gestes, nous leur interdisons de frapper autrui et de faire mal volontairement. C'est pourquoi nous sommes contre la fessĂ©e. Comment pourrais-je frapper mon enfant alors qu'une des bases de son Ă©ducation consiste Ă  lui inculquer de ne pas frapper les autres? Jusqu'Ă  maintenant, je n'ai pas dĂ©rogĂ© Ă  cette rĂšgle, mĂȘme si parfois, ils ont le don de m'Ă©nerver. Si la discussion ne fonctionne pas, je les porte fermement dans leur chambre jusqu'Ă  ce qu'ils se calment et demandent pardon. J'ai conscience que cette solution ne fonctionnera qu'un temps et qu'en grandissant, cela va se corser. Quelles alternatives voyez vous Ă  la fessĂ©e?NilslofDans mon livre, je donne plusieurs solutions Ă  ce dilemme. Mais en fait, la meilleure chose Ă  faire pour Ă©viter les punitions, c'est de renforcer le cĂŽtĂ© positif chez vos enfants. Dites-leur que vous ĂȘtes content quand ils font des progrĂšs, quand ils rangent leur chambre, ont de bonnes notes etc. Souvent on juge un comportement positif comme "normal". Un enfant cherche toujours l'amour de ses parents. Montrez que vous voyez son effort dans la vie quotidienne. Ainsi vous renforcer le dĂ©sir de plaire Ă  ses parents chez l' faire devant une enfant qui s'oppose tout le temps elle rĂ©pond - du haut de ses 4 ans - comme ses soeurs adolescentes - 15 et 13?LafanetteUn enfant cherche toujours ses limites. Il cherche le "NON" parental. Mais il cherche ce "NON" en parole, pas en punitions corporelles. Un enfant qui s'oppose a besoin de limites cohĂ©rentes et adaptĂ©es. Elle fonctionneront ainsi comme un cadre rassurant. Avec votre partenaire, essayer d'Ă©tablir des limites pour votre fille. Un "NON" doit rester un "NON" t un "OUI" un vrai "OUI". Je donne des conseils sur les limites dans mes la fessĂ©e est-elle devenue traumatisante» du jour au lendemain quand des gĂ©nĂ©rations entiĂšres en ont reçu sans problĂšme?PanchitoLa fessĂ©e n'est pas devenue traumatisante du jour au lendemain. Elle l'a toujours Ă©tĂ©. Seulement, autrefois l'enfant n'avait pas de droits. Aujourd'hui nous considĂ©rons l'enfant en tant qu'individu, comme une personne. Ayant des droits. et son droit c'est une Ă©ducation sans violence. Ce n'est pas parce que nos parents et nos grands-parents ont donnĂ© et probablement reçu des fessĂ©es que l'ont devrait faire pareil sans s'interroger sur cette forme de terme de fessĂ©e est rĂ©ducteur. Quel sens y donnez vous? Le geste physique? L'humiliation? Le rappel de la hiĂ©rarchie, du respect? Le rĂ©flexe Ă©ducatif animal?feekepasserLa dĂ©finition de la fessĂ©eOn donne des coups sur le derriĂšre de l'enfant. C'est une punition corporelle et une forme de violence. La forme la plus humiliante est la fessĂ©e dĂ©culottĂ©e. Dans mon livre j'aborde la fessĂ©e en tant que punition de l' chat est fini.

DaprĂšs le questionnaire dĂ©claratif rempli par les parents au moment du prĂ©lĂšvement de la mĂšche de cheveux de l’enfant, un tiers des enfants participant Ă  l’enquĂȘte Ă©taient scolarisĂ©s dans un Ă©tablissement se trouvant Ă  moins de 50 mĂštres d’une zone agricole pulvĂ©risĂ©e par les pesticides. Pour les 70 % restants, l’école est situĂ©e Ă  moins de 1 kilomĂštre de tels

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