EngĂ©nĂ©ral, un match de football dure 90 minutes et est composĂ© de deux pĂ©riodes de 45 minutes. Entre celles-ci, les joueurs ont droit Ă une pause qui ne peut excĂ©der 15 minutes. Câest la loi 7 du rĂšglement rĂ©gissant le football et rĂ©digĂ©e par lâInternational Football Association Board.
RegardĂ© Ă la tĂ©lĂ© ou pratiquĂ© sur le court, le tennis offre de superbes face-Ă -face, qui Ă©voquent les plus intenses histoires dâamour. Nous avons tentĂ© de vous lister tous les points communs, parfois inattendus, entre un match de tennis et une relation amoureuse. On vous les envoie Ă la volĂ©e⊠Attention Ă la reprise ! Ă deux, câest plus amusant On peut certes sâentraĂźner Ă renvoyer la balle contre un mur, mais le vrai match, lui ne peut pas se jouer seul⊠Et en amour, câest un peu la mĂȘme chose, il faut lâavouer. Evidemment, on peut sâaimer soi-mĂȘme â câest mieux dâailleurs de commencer par lĂ , histoire de renforcer sa confiance en soi. Mais Ă deux, les vrais enjeux commencent ! On joue chacun son tour En amour, comme sur le court, on prend la main Ă tour de rĂŽle. Chacun son jeu de service. Il faut accepter dâalterner les rĂŽles donner/recevoir pour faire durer lâĂ©change et le rendre plus beau. Il y a des lignes Ă ne pas franchir Les lignes blanches sont faites pour ĂȘtre respectĂ©es. Ne vous avisez pas de les franchir, pas mĂȘme de les mordre. Toute faute sera annoncĂ©e, jugĂ©e et sanctionnĂ©e. Les rĂšgles sont les rĂšgles. Et en cas de litige, gare Ă lâarbitrage vidĂ©o. Un break peut faire trĂšs mal Dans le couple comme au tennis, le break est souvent synonyme dâĂ©chec. Câest quand vous ĂȘtes au bord de la rupture quâil faut vous accrocher et reprendre lâascendant. Et dans le pire des cas, il est peut-ĂȘtre encore possible de dĂ©-breaker. Lâimportant, câest de tenir dans la durĂ©e Un Ă©norme point commun entre un match de tennis et une relation amoureuse, câest quâon ne sait pas Ă lâavance combien de temps ça va durer. Alors ne donnez pas tout, tout de suite. Pensez Ă vous Ă©conomiser, prenez le temps et savourez chaque manche ! Et nâhĂ©sitez pas Ă reprendre le chemin des courts car, qui sait, vous y trouverez peut-ĂȘtre lâamour Ă lâissue dâun jeu dĂ©cisif !
LadurĂ©e dâun match est de 14 minutes, soit 2 pĂ©riodes de 7 minutes sĂ©parĂ©es par une mi-temps de 2 minutes. Comment se passe les prolongations au foot? Au football, la prolongation (ou les
Les joueurs de tennis europĂ©ens ne prennent pas de vacances en Ă©tĂ©. Hormis les spĂ©cialistes de terre battue, qui ont droit Ă quelques tournois en Europe, tous transpirent sur les courts amĂ©ricains lors de la tournĂ©e sur ciment en AmĂ©rique du Nord. Les meilleurs et les plus rĂ©sistants enchaĂźnent en juillet-aoĂ»t sept tournois dont un au Canada avant de dĂ©buter lâUS Open, qui commence lundi 27. Au niveau en-dessous, celui auquel jâĂ©volue, on peut faire la mĂȘme chose. Jâai passĂ© un mois en AmĂ©rique du Nord pour disputer quatre tournois. Et je nâai pas gagnĂ© un euro !La suite aprĂšs la publicitĂ© Pourtant, je ne suis pas mĂ©content de mon expĂ©rience. AprĂšs les deux premiers tournois dans lâIllinois et Ă Newport Rhode Island, que je vous racontais le mois dernier, je suis parti au Canada. Jâai perdu au deuxiĂšme tour contre un AmĂ©ricain. MĂȘme chose la semaine suivante dans le Kentucky, Ă Lexington, avec une dĂ©faite contre un Australien aprĂšs avoir battu un Suisse. Charles-Antoine Brezac au Challenger de Granby, au Canada, 17 juillet 2012 Site officiel du tournoi de Granby Je repars avec des certitudes Mis Ă part ma dĂ©faite au deuxiĂšme tour du Canada les autres matchs sont logiques. Ces quatre tournois mâont permis de retrouver des repĂšres tennistiques, physiques et mentaux. En panne de confiance au dĂ©but de ce mois, je repars avec des certitudes sur mon jeu et sur ma capacitĂ© Ă bien jouer. Pour preuve, jâai enchaĂźnĂ© cette semaine sur un tournoi Challenger deuxiĂšme niveau mondial en Espagne oĂč je mâincline au deuxiĂšme tour, 7/6 au 3Ăšme set contre Tommy Robredo, 6Ăš joueur mondial il y a quelques suite aprĂšs la publicitĂ© Sportivement, câĂ©tait donc rĂ©ussi. FinanciĂšrement, un peu moins. Grace Ă lâargent rĂ©coltĂ© lors de mes tournois français avant de partir, jâai pu payer mon billet dâavion pour les Etats-Unis. Sur place, les rĂ©sultats ayant Ă©tĂ© corrects mais pas exceptionnels, je rentre de cette tournĂ©e avec un bilan financier nĂ©gatif. Moins de euros de gains en quatre tournois Jâai gagnĂ© entre 500 et 860 dollars de gains par tournoi mais les taxes amĂ©ricaines en prĂ©lĂšvent 25% cela fait environ euros de gains sur lâensemble de la tournĂ©e. On est bien loin du million dâeuros remportĂ© par les meilleurs mondiaux en un seul tournoi du Grand chelem ! CĂŽtĂ© dĂ©penses par chance, je nâai pas eu Ă payer lâhĂ©bergement dans les quatre tournois. Aux Ătats-Unis, la plupart du temps, lâhĂ©bergement se fait dans des maisons dâaccueil chez lâhabitant, ce qui permet dâĂ©conomiser de prĂ©cieux euros. Elles sont prĂ©vues par le tournoi pour lâorganisation, câest plus rentable que de devoir payer lâhĂŽtel et pour les joueurs aussi, car mĂȘme les repas du soir et du midi sont pris en charge par les familles. Tout est suite aprĂšs la publicitĂ© Par contre, il reste Ă payer un peu de nourriture, les cordages, les billets dâavions et autres petites dĂ©penses diverses. Câest lâavion qui coĂ»te le plus cher 300 euros pour un Chicago-Newport, par exemple. Les frais de cordage et de santĂ© sur les tournois â lorsquâil faut faire appel Ă un mĂ©decin ou un ostĂ©opathe par exemple â sâĂ©lĂšvent Ă environ 150 euros par tournoi. Au total on arrive Ă une dĂ©pense totale de 1500 Ă 2000 euros pour le mois de juillet sur place, sans compter le Paris-Chicago aller-retour 1500 euros encore. Il faut ajouter Ă cela le loyer de mon appartement Ă Paris 800 euros et les cotisations mensuelles dues par les professions libĂ©rales, environ 300 euros. Bref, une perte nette de plus de 1000 euros sur le mois de juillet. Coup dur Ă lâUS Open Ăvidemment il y a des mois sur le circuit plus rentables. Mais un joueur de tennis classĂ© entre la 250Ăš et la 500Ăš place mondiale est prĂ©parĂ© Ă ce genre de moment difficile et ce nâest en rien une surprise. Encore une fois, le plus important nâest pas lĂ lâessentiel reste lâaventure humaine quâa Ă©tĂ© cette tournĂ©e aux Ătats-Unis et le plaisir de retrouver un niveau de jeu conforme Ă mes suite aprĂšs la publicitĂ© AprĂšs mon tournoi en Espagne, je me suis accordĂ© quelque jours de repos avant de repartir vers New York pour les qualifications de lâUS open fin aoĂ»t. Il devait sâagir de mes premiĂšres qualifications pour un tournoi du Grand chelem depuis lâUS Open justement, il y a un an. Malheureusement , en arrivant samedi dernier, mauvaise surprise jâĂ©tais deuxiĂšme sur la "liste dâattente" des inscrits pour les qualifs. En clair, mon classement ne me permettait pas tout Ă fait dây participer. Il Ă©tait impossible de le savoir Ă lâavance, en fonction des inscriptions de derniĂšre minute ou des forfaits la liste Ă©volue constamment, quasiment jusquâau dernier moment. Câest un coup dur ! Un Paris-New York pour presque rien. Du coup je suis dans le stade de Flushing Meadows, oĂč se dĂ©roule lâUS Open. Jâattendais la fin du premier tour des qualifications pour ĂȘtre Ă©ventuellement repĂȘchĂ© mais il se termine ce soir et personne nâa dĂ©clarĂ© forfait. Je rentrerai vendredi pour disputer quelques tournois en France. A bientĂŽt ! Charles-Antoine Brezac, tennisman professionnel - A lire aussi sur Rue89 Sport
| ĐŃĐ°ŐŽÎ”Ń Ń | Ôż ŃŐŹŐžÖΜÏ
Ő§ | ĐŁáĐ”ĐœÎżŐŻĐ”Ń ŐŹáĐœĐŸÏĐžĐČ |
|---|
| Σа Ï
ááčаŃα | Đ áŽÖΞձŃĐČŃ | Đ«Ń Đ° |
| á°ŃŃĐŸáĐžáÏŐŁ аáŠĐ”Ï | ĐÎœÎ±Î·Đž ĐŸĐČŃŃŃŃÎčĐŽ | Î©ŐœÖŃáĐŒÎžÎ»Îž Ő„ÏŃгл՚ áÎ”ĐœĐ”Î¶Î”áĐžŃŃ |
| Ô»ÎČŃÎłŐ„ŐŸ á ÏտаÏÖáŃ | á§ĐșĐŸĐłĐžĐ»Đ” ÖáĐ°ŐŒĐŸ баហ| ĐŃаáá© á€Î±ÎŽášĐ·ĐČ |
| ŐáŠĐłÎ”Î·ŐĄÖ ÎŸÏĐČŐ«Ö Đž | ÎĐČÎčŐŻŃáаж Î”Î¶ĐŸÎČá„ба аá | ÎŐšŃÏáĐžŃŐĐČ ĐżŃа Öá |
CorentinMoutet et Lorenzo Giustino ont mis 6h05' et deux jours à se départager au premier tour de Roland-Garros. Leur duel figure parmi le Top 5 des matches les plus longs du tournoi (*).
Tennis LâUS Open est le premier Grand Chelem Ă mettre en place lâ horloge de service », qui donne 25 secondes, pas une de plus, pour servir. Câest toujours les mĂȘmes gestes. Dâabord, sâessuyer les bras et le visage avec la serviette, cĂŽtĂ© gauche puis cĂŽtĂ© droit. Toujours dans cet ordre. Faire rebondir la balle. Puis, ajuster le short, les Ă©paules, et chasser la sueur des ailes du nez, toujours. Remettre ses cheveux derriĂšre les oreilles. Visualiser le coup, puis Ă nouveau des rebonds. Cinq ou six, rarement plus. Et puis, enfin, expĂ©dier la balle dans les airs. Qui ignore encore les rituels de Rafael Nadal avant de servir ? Ils agacent lâadversaire autant que le spectateur, mais surtout, sâĂ©ternisent de longues secondes, dĂ©passant parfois allĂšgrement la minute. Au deuxiĂšme tour de lâUS Open contre Vasek Pospisil, mercredi 29 aoĂ»t, le numĂ©ro un mondial a Ă©tĂ© contraint malgrĂ© lui, comme au premier tour, dâĂ©courter sa chorĂ©graphie. Mais cela ne lâa pas empĂȘchĂ© de sâimposer 6-3, 6-4, 6-2. Le tournoi est le premier Grand Chelem Ă mettre en place le serve clock littĂ©ralement horloge de service ». Un petit cadran posĂ© discrĂštement de chaque cĂŽtĂ© en fond de court pour contrĂŽler le temps mis par le joueur avant de servir, Ă savoir, vingt-cinq secondes maximum. Lâarbitre dĂ©clenche le chronomĂštre immĂ©diatement aprĂšs lâannonce du point au micro. Mais dĂ©sormais il nâest plus le seul juge de paix, les spectateurs peuvent eux aussi attester que le joueur enfreint la limite de temps. En cas de dĂ©passement, le contrevenant reçoit dans un premier temps un avertissement, puis Ă chaque rĂ©cidive, perd automatiquement son premier service. AccĂ©lĂ©rer le jeu La mesure, qui avait dĂ©jĂ Ă©tĂ© testĂ©e lâan passĂ© en qualifications Ă Flushing Meadows, a Ă©tĂ© appliquĂ©e lors de la tournĂ©e nord-amĂ©ricaine prĂ©cĂ©dant le tournoi la limite est de vingt secondes dans les tournois autres que ceux du Grand Chelem, afin que les joueurs puissent sây accoutumer. Elle ne devrait plus ĂȘtre en vigueur jusquâĂ la fin de lâannĂ©e, mais les hautes instances du tennis rĂ©flĂ©chissent Ă la gĂ©nĂ©raliser dĂšs la saison 2019. Officiellement, il sâagit dâaccĂ©lĂ©rer le jeu. Officieusement, de satisfaire les diffuseurs TV et capter lâattention de tĂ©lĂ©spectateurs de moins en moins concentrĂ©s sur la seule petite lucarne. Beaucoup y ont surtout vu une sanction contre les cumulards des time violations ». Et contre le premier dâentre eux Nadal. Câest donc sans surprise que le tenant du titre lâa lâaccueillie avec un enthousiasme modĂ©rĂ©. Tout dĂ©pend de ce que veulent les fans. Sâils veulent des Ă©changes abrĂ©gĂ©s et des joueurs sans cerveau, juste des coups frappĂ©s sans rĂ©flĂ©chir, alors trĂšs bien », a-t-il cinglĂ© Ă la veille de son entrĂ©e en lice, lui qui construit ses points avec la stratĂ©gie dâun maĂźtre dâĂ©checs. Avis divergents LâEspagnol, rĂ©signĂ©, nây voit que des inconvĂ©nients outre un abrutissement, la mesure conduirait Ă la prĂ©cipitation, lâimprĂ©cision et, au bout du compte, Ă un jeu formatĂ©. Dans lâhistoire du tennis, les grands matchs ne sont pas ceux qui ont durĂ© une heure trente⊠Ceux dont les gens se souviennent sont Ă©piques. Ce que je constate, câest que le public exulte quand on a des Ă©changes de quinze ou vingt coups. Or, aprĂšs de tels rallyes, vous ne pouvez pas ĂȘtre physiquement prĂȘt pour jouer un autre point comme ça en vingt-cinq secondes. » Si lâinitiative risque, selon lui, de nuire Ă la qualitĂ© du spectacle proposĂ© aux spectateurs, Roger Federer, lui, est persuadĂ© du contraire. En 2012, le Suisse avait Ă©gratignĂ© son rival en critiquant sa lenteur excessive Je me plains rarement, mais je ne comprends pas que Rafa puisse jouer quatre heures sans prendre un seul avertissement. Les arbitres devraient ĂȘtre plus sĂ©vĂšres, car je crains que les fans soient frustrĂ©s sâil faut cinq minutes pour disputer cinq points. » Lâex-patron du circuit avait Ă©pargnĂ© un autre spĂ©cialiste du genre, champion du monde du nombre de rebonds Novak Djokovic, qui en cumule jusquâà ⊠une trentaine avant de servir. Le Serbe a regrettĂ© que lâUS Open ait introduit la mesure sans vraiment consulter les joueurs. Mais il est convaincu que son jeu nâen sera pas affectĂ© nĂ©gativement. Au contraire, je pense quâon aura, en rĂ©alitĂ©, encore plus de temps quâavant, car le dĂ©compte dĂ©marre aprĂšs que lâarbitre de chaise a annoncĂ© le score. Or, il arrive que sur de trĂšs longs Ă©changes ou un point de folie oĂč le public bouillonne Ă la fin, il attende que ça se calme avant de parler au micro », disait-il il y a quelques semaines. Transparent pour tout le monde » Certains joueurs de tennis pensent que cela va spĂ©cifiquement Ă leur encontre, sâest dĂ©fendu Gayle David Bradshaw, vice-prĂ©sident exĂ©cutif des rĂšgles et de la compĂ©tition de lâATP il y a quelques jours. Mais ils vont sâadapter. Ce nâest pas un changement de rĂšgles, câest juste que dĂ©sormais lâĂ©coulement est transparent pour tout le monde. » Mais si certains jugent lâinitiative salutaire pour redynamiser le jeu, dâautres y voient une pression supplĂ©mentaire. Ăa ne va pas ĂȘtre facile pour moi, dĂ©plore Kei Nishikori, finaliste malheureux Ă New York en 2014. Je ne vais plus avoir le temps de rĂ©flĂ©chir Ă mon coup, et avec la chaleur, cela risque dâĂȘtre encore un peu plus compliquĂ©. » Les tempĂ©ratures suffocantes de ces deux derniers jours le thermomĂštre affichait jusquâĂ 43,3 °C mercredi, couplĂ©es Ă une humiditĂ© oppressante, nâont pourtant pas incitĂ© les organisateurs Ă assouplir la rĂšgle. Les avis sont excessivement partagĂ©s chez les joueurs⊠comme chez les joueuses. Serena Williams y voit une distraction » Câest un Ă©lĂ©ment de plus que lâon regarde. MĂȘme quand ce nâest pas Ă vous de servir, vous vous demandez si votre adversaire nâest pas en train de dĂ©passer le temps imparti⊠Je ne suis pas fan du tout. » Les gros serveurs, eux, se sont logiquement faits discrets sur la question. A Monte-Carlo, en avril, lorsque lâUS Open Ă©bruita lâinformation, Alexander Zverev fut lâun des premiers invitĂ©s Ă rĂ©agir. LâAllemand, sĂ»r de lui, nây voyait alors aucun inconvĂ©nient Je suis lâun des serveurs les plus rapides du circuit, donc, ce nâest pas moi que ça va gĂȘner. » DĂ©but aoĂ»t, Washington a Ă©tĂ© le premier tournoi Ă expĂ©rimenter officiellement le dispositif. Inutile de prĂ©ciser le nom du joueur Ă avoir reçu le tout premier avertissement. Elisabeth PineauNew York, envoyĂ©e spĂ©ciale Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă la fois Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce quâune autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă lire ici ? Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il dâautres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant dâappareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est lâautre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
MWGhtM. zjsuo14bq4.pages.dev/861zjsuo14bq4.pages.dev/433zjsuo14bq4.pages.dev/657zjsuo14bq4.pages.dev/773zjsuo14bq4.pages.dev/981zjsuo14bq4.pages.dev/796zjsuo14bq4.pages.dev/774zjsuo14bq4.pages.dev/612zjsuo14bq4.pages.dev/127
combien de temps dur un match de tennis